Full text: Commissions III and IV (Part 5)

  
  
182 LACUNES DE LA RESTITUTION, DISCUSSION 
sonal judgment. Remember we have available 
to us many statistical techniques where we can 
assess their risks for us. There is no reason why 
we cannot make use of them to help us estimate 
the proper relationships between the cost of 
accuracy and the usefulness of a photogramme- 
tric product. 
Thank you for your attention. 
Capt L. W. SWANSON: Time is short and I 
have very few things to say. 
I do not believe that we are taking full ad- 
vantage of all the available material at hand, and 
I would suggest that more colour and infra red 
photography be used. We on coastal geodetic 
survey have been unable to locate any aids to 
navigation with panchromatic photography for 
years, and this has been a slow field operation. 
Within the past two years we first located 
aids to navigation by targetting the aids with 2' 
square targets, using infra red photography. We 
located 98% of all aids to navigation by this 
method. We next tried using colour photog- 
raphy. We have had practically 100% success 
without any targetting whatsoever. We would 
suggest that photogrammetrists use more colour 
and infra red photography. We do not think 
there will be as many blanks. 
One other practical way of getting away from 
blanks for the road builder: we have just com- 
pleted an area in the region of Snake River in 
Idaho which is heavily wooded. We hired a 
helicopter there and sounded the height of the 
trees, just as we would sound the bottom of the 
ocean. We contoured the tops of the trees. We 
have found from the Army engineers that this 
was very satisfactory for their particular pur- 
pose, for the design of a dam in this particular 
area. 
With those few suggestions I should like to 
stop. 
Docteur G. LE DivELEC: Je voudrais avant 
tout m'excuser auprés de Monsieur Kowalczyk 
sj je n'ai pas été suffisamment clair lorsque 
dans mon rapport j'ai parlé de lacunes volon- 
taires. J'entends par lacune volontaires l'accep- 
tation d'une partie de la carte qui est moins 
exacte que l’autre partie. Je me réfère spéciale- 
ment à des travaux dans lesquels on demande 
qu’il y ait une certaine exactitude sur la plus 
grande partie de la surface à lever et une exacti- 
tude plus grande pour des parties très restrein- 
tes. Pour des raisons d’ordre économique il 
arrive parfois qu’on puisse utiliser la photogram- 
métrie avec des hauteurs de vol assez élevées 
pour la grande partie, et on doit recourir à des 
levés topométriques pour introduire dans cette 
surface qui a une exactitude suffisante mais trop 
petite les régions restreintes dans lesquelles on 
demande une exactitude plus grande. C’est ce 
que j'appelle lacunes volontaires. Et je dois 
m’excuser maintenant auprès de Monsieur 
Swanson si dans mon rapport je n’ai pas parlé 
de cette question de photos en couleurs et des 
photos infra-rouges, mais j'avais trés peu d'es- 
pace dans le numéro de ,,Photogrammetria" et 
jai dà malheureusement éliminer beaucoup de 
choses qui m'avaient été signalées avant l'éta- 
blissement de ce rapport. Je vous remercie 
beaucoup et j'ai fini. 
Monsieur B. DuBUISSON: Monsieur le Prési- 
dent, Messieurs, je voudrais seulement en deux 
mots porter un accent particulier sur un sujet 
évoqué par Monsieur Le Divelec, celui des tolé- 
rances. Nous pensons qu'il y a dans l'étude des 
tolérances partielles d'origine erreurs systémati- 
ques accidentelles et dans leur connexion pour 
le but final du plan à établir, toute une série 
d'éléments statistiques qui seraient à chacun 
d'entre nous extrémement précieux pour pou- 
voir résoudre des problémes nationaux parti- 
culiers de tolérance dans l'ensemble, étant 
donné que nous sommes tous d'accord sur le 
fait qu'un contróle d'un levé photogrammétrique 
ne saurait en aucun cas étre identique à celui 
d'un levé topométrique. Ceci nécessite évidem- 
ment le recueil d'un nombre considérable d'élé- 
ments statistiques provenant d'un canevas ex- 
trémement précis dont les erreurs sont trés in- 
férieures à celles faites d'habitude sur un levé 
régulier au sol. Cela pose des problémes par 
conséquent d'un canevas au sol qui pourrait à 
la fois d'ailleurs servir de contróle périodique ou 
occasionnel aux chambres photographiques, et 
ceci aussi pose un probléme d'ordre financier 
comme d'ordre météorologique, étant donné 
que les contróles de matériel ne peuvent s'effec- 
tuer normalement qu'en dehors des périodes 
efficaces de travail. Je vous remercie. 
Mr C. O. TERNRYDb: As I did not quite under- 
stand your question before, I should like to add 
three or four words to it. 
In terrestial measurements when we measure 
for road planning we refer the system to the 
central line itself. We measure photogram- 
metrically, we refer the measurements to a 
state polygon system and transfer that in the 
calculations again to the centre line. We speak 
to the same system if we have made the 
measurements terrestrially or photogrammetric- 
ally. 
  
  
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