n
s-) jt, = Y y aai) (15)
P
k=-m 1=-n
(k,1)=(0,0) et m,ne Z.
es en
d^ pour tout m,n. (16)
m,n
Des formules (15) et (16) nous obtenons la
relation (17) :
m n
~ ~
d = :
k, 1 ren ten C n : (17)
k=-m 1=-n
(k,1)#(0,0) et m,ne Z. Pour tout m, n e Z, les
C 1 sont les fonctions d'autocorrélation du
processus (X, 9. Dans l'équation (17) les d.
>
sont les inconnues; (17) est un système linéaire
de m équations à n inconnues.
Soit d, , les solutions de (17) l'estimateur
S'écrit alors :
= m n
Ress :L 14.4 21" (18)
i k. 1
3 un 15e 1 rR, ge
(k, 1)*(0,0) et m,ne Z.
La valeur minimum de S est, dans ce cas, égale à
m n
~
o zt - d C (19)
min 0,0 k,1 k, 1
k=-m 1=-n
Remplaçons dans (13) d. i par d, i nous obtenons
X = d X + e (20)
1,3 x,L i-k,j-l 1,J
k=-m 1=-n
et E(e? ) S. »c* (21)
1,1 min e
On suppose que Xx, représente la valeur
J
radiométrique du pixel de coordonnées (i,j). Ce
modèle pour le traitement d’image est basé sur
le fait que la variable aléatoire, X, j^ est
corrélée avec ses plus proches (pixels) voisins.
3.4.1.Le modéle bilatéral aux quatre voisins :
-1 +] ...
i=}
irl
fig.5
En résolvant l'équation (17) pour ms1 et nz1,
nous trouvons :
X = ax
1
+ ex + a X + a X
15] 1531-1 2. 1-1, j 3 1,J*1 4 1+1, 3
+ Be, , (22)
Nous obtenons :
p..(1.+p ,) ~2p. P
PE 01 02 11 e (23)
au Pan) (1 " Pag) "^p
370
PAUL pe Zw
a, = 0 = 10 02 11 is (24)
(1 + Pan) (1 + Boz) - 4 P
Uo
il
a = 2(x r + ar ) I (25)
3.4.2.Le modéle bilatéral aux huit voisins
(fig.4):
Le modéle s'écrit :
1 4
= +
X, d i A ek pd e (26)
k--1 12-1
(k,1)#(0,0)
L'image estimée est représenté par le
modèle :
m n
Rol = ) ) d, X kde (27)
k=-m 1--n
(k,1)#(0,0)
3.5.Etalement dynamique :
Parmi les valeurs estimées, certaines sont
négatives; pour cela nous faisons la
transformation suivante :
x 3 > X in
Y = d TX 255.
max min
où X ^ max( X, 2 et x z min( X, J) pour
isf,...M ot j-1,...;N.
4. ANALYSE DES RESIDUS.
4.1.Introduction :
Si on se référe à une structure probablliste,
on attend des résidus, dans le cas où le modèle
posé est correct, qu'ils se comportent
sensiblement comme des erreurs observées. Les
graphiques permettent de vérifier la
compatibilité avec les hypothéses usuelles:
(1) : E(e,) = 0
(2) : Var(e,) = Var(X,) = 0%
(3) : e, suit une loi normale N(0,02).
Dans la pratique, on ne connait pas les €,
aussi, dans un test de "non-corrélation des
erreurs", on devra nécessairement utiliser les
résidus €,
4.2.Procédure de Durbin-Watson (Brenot, 1975).
Pour vérifier l'hypothése de "non-corrélation
des erreurs" on peut considérer les erreurs
€ > oe suivant la ligne i, et
1,2 1,n
£ ze 0004 76
suivant la colonne j.
2,] m, J
Notons dw(l) la statistique de Von Neumann
suivant les lignes et dw(c) celle suivant les
colonnes. Nous avons les rapports de Von Neumann
; 2
(e - £ )
1=2 1,3 i-1,J
m
2
y d
i=1 3
dw(1) =
CO!
Du.
di:
va.
pre
nor
Hce
pre
comr
des
par
pour
ince
la n
SPOT
foré
tail
imag
vill
Nous
panc
diff