220 AVIATION
ta vitesse pratique de translation Vf étant plus petite que la vitesse
théorique V —nh, il en résulte que l'angle b est plus petit que
angle a. Il existe, par conséquent, un angle d'attaque à de la pale
considérée: sur sa trajectoire. On obtient ainsi la notion dite du
recul. Ce recul est nécessaire car il crée l'existence d'un angle
d'attaque et, par suite, d'une poussée sur la pale. Cet angle d'attaque
diminue à mesure qu'on se rapproche du moyeu.
L'air exerce sur chaque élément d’hélice un effort semblable à celui
qu’il exerce sur une aile d’aéroplane, et, par analogie, on peut étendre
à cet élément d’hélice la notion d'angle optimum.
Une hélice se compose, théoriquement, d’une série de tranches
Frc. 91. — Pas variables.
auxquelles on donne une première inclinaison imposée par le pas
et qui est, d'autant plus grande qu'on se rapproche davantage du
moyeu. On modifie cette inclinaison pour donner à chaque élément
de pale l'angle d'attaque optimum. Il est à remarquer que la partie
de l’hélice située près du moyeu, soit un quart environ de la longueur
de la pale, ne fournit qu’une action minime dans la propulsion, mais
cette partie -doit réunir une grande résistance à la rupture en même
temps qu’une faible résistance à l’avancement. D’après une conven-
tion adoptée par les vérificateurs on entend par pas moyen d’une
hélice celui mesuré à une distance du centre égale aux 17/24* du
rayon de l’hélice.
Le recul. — L'air étant refoulé et fuyant sous l'effort de l’hélice,
l'avancement théorique n x h par seconde, ne peut jamais être atteint.
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