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LES PROPULSEURS
en éliminant w de ces équations, on aura celle de l’hélice :
ITR : T0
[28] z= Reos—, y=Rsin-—.
n N
in prenant les cosinus des angles que la tangente à la courbe faii
avec les axes, on reconnaît que la tangente a une inclinaison cons-
tante sur l’axe. Le rayon de courbure est :
[29] (X-— æ) sin w (Y — y) cos w + ee (4 —3)=0.
Si l’on coupe ce plan osculateur par le plan Z—z, la section se pro-
jette sur le plan des x y suivant la droite :
[30] (X — x) sin w — (Y — y) eos w = O,
qui passe par l'origine. L'horizontale du plan osculateur est donc le
rayon du cylindre qui passe par le point de la courbe; cette horizon-
tale est normale à la courbe et constitue ainsi la normale principale.
Il en résulte que le lieü des centres de courbure de l'hélice est, une
autre hélice de même pas tracée en sens inverse sur le cylindre de
rayon.
[31] R (1 + a}
La seconde courbure est alors facile à déterminer.
Les modèles d’hélices étudiés par Welner, de Vienne, ont fourn:
les résultats suivants :
Tours, par minute : 250, 280, 200, 295, 305, 310, 312, 315.
Traction en kilos: 55, 58, 60, 62, 65, 68, 70, 71.
Ces chiffres montrent que l’effort de traction augmente réguliè-
rement avec la vitesse de rotation.
Hélices sustentatrices. — En principe, une hélice peut travailler à
la traction aussi bien dans le sens vertical que dans le sens horizon-
tal, et on peut en faire un organe ascensionnel aussi bien qu'un engin
de propulsion; mais le probléme est encore plus ardu quand on ré-
fléchit que l'aéronef est entiérement suspendu alors à cet organe qui
fait l'office de sustentateur.