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Nous consacrons plus loin une lecon à l'examen de ce genre d'ap-
pareils, dont l’étude n’est pas aussi avancée actuellement que celle
de l’aéroplane, et qui n’a pu encore fournir des résultats équivalents,
car c’est à peine si l'hélicoptère a pu effectuer son premier kilomètre
de vol en circuit fermé. Nous nous bornerons à dire que le rendement
des hélices sustentatrices essayées est relativement faible, à moins
de donner une grande surface aux pales. C’est ce qu’avait réalisé
M. le vicomte Decazes en 1902 avec une hélice de 6 mètres de dia-
mètre comportant 24 pales réparties entre deux cercles parallèles
en aluminium, et dont la surface totale atteignait 29 mètres carrés.
Essayée au dynamométre sur une balance, et mise en rotation à l'aide A
d'un moteur électrique de 10 CV, cette hélice développa un effort axial Mon
de 67 kilos à 60 tours par minute. Loge
Les hélices étudiées par le marquis Pescara pour ses essais de vol 1°
à la verticale, sont biplanes et montées sur bras tournant suivant leur 2°
axe de façon à modifier à volonté l’obliquité des pales et l'importance la d
de la surface travaillante. L'ingénieur Oehmichen, qui travaille égale- 3°
ment depuis plusieurs années le probléme de l'hélicoptére, à combiné les x
des modèles particuliers d’hélices ascensionnelles présentant un ren- 4°
dement élevé. Nous y reviendrons dans le chapitre consacré à l’étude rivéi
de ce genre d'appareils. Ko
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