ont réunies
tachent les
pentes. Du
inissant au
vient d'étre
'deaux aux
es aérostat-
lé à 956 ct
e rangs de
manceuvres
e de petits
lement. Les
her en glis-
and volume,
très grande
on procède
loppe, en la
u pôle supé-
nières patte-
veloppe avec
1etre comme
ur dans les
es suspentes
and le déve-
par exemple,
un peu plus
à l’équateur
; brins, cette
our la moitié
en effet aux
e du ballon,
t, pendant le
CONSTRUCTION DES BALLONS SPHÉRIQUES 37
gonflement, permettre au filet de descendre en prenant la forme d’un
cylindre un peu tronconique et presque vertical.
Dès lors, en ce qui concerne les mailles supérieures, le point de
départ de la maille équatoriale est un triangle ABC ayant pour base
la largeur de cette maille, et qu’on construit équilatéral afin d’éga-
liser les tractions en ses trois sommets. Toutes les autres mailles
a, a, sont tracées à l’équerre en leur conservant le même angle et
Cosse dé roulement
Fic. 9 et 10. -— Epure d'un filet.
la même forme; il suffit à cet effet de mener des parallèles aux
deux côtés AG et BC du triangle de base en limitant ces parallèles
aux bords du fuseau. Quant au point de départ des mailles de la
partie inférieure, c’est bien encore un triangle équilatéral A'B'C/
égal au triangle ABC et qui, avec ce dernier, compléte la maille
équatoriale; mais, afin de permettre au filet de descendre verticale-
ment à partir de ce point, il convient de conserver aux cótés des
losanges une longueur invariable. Les mailles changent alors d'angle
et de forme à mesure qu'elles se rapprochent de la partie du ballon,
ou le filet devient tangent à l'enveloppe en s'allongeant ainsi pro-