Full text: Traite théorique et pratique de navigation aérienne

   
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LES BALLONS CAPTIFS 81 
gorge en hélice pratiquée sur le tambour d’un treuil en fonte com- 
mandé par engrenages et actionné par deux machines à vapeur de 
300 chevaux. Son remplissage exigea 190 tonnes d'acide sulfurique 
à 52°B et 80 tonnes de tournure de fer. Il pouvait enlever 50 per- 
sonnes à 500 mètres de hauteur, et pendant les trois mois qu'il fonc- 
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Fra. 36. — Ensemble du ballon captif Giffard de 1878. 
tionna, il exécuta plus de 1.000 ascensions et enleva plus de 35.000 
voyageurs. 
L'année suivante, le ballon captif, regonflé dans le même emplace- 
ment, reprit son service, mais l’enveloppe était usée et fut déchirée 
par un ouragan alors qu’il était amarré à terre. 
Dans la suite, de nombreuses exploitations analoguès furent orga- 
nisées à l'occasion de diverses expositions, en France et à l'étranger 
par les successeurs de H. Giffard : Gabriel Yon, Louis Godard et 
Surcouf, Lachambre, V. Lecomte, etc., mais avec des aérostats de 
volume infiniment moindre : de 3 à 5.000 mètres cubes en moyenne. 
C'est la derniére Exposition Universelle de Paris, en 1900, qui 
à conservé le record du nombre des ballons captifs fonctionnant 
NAVIGATION AÉRIENNE 6 
     
  
   
   
    
      
      
   
  
    
   
  
    
    
   
     
     
    
   
    
     
     
 
	        
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