des On termine le couple par un deuxième tour '"de vérification" qui concerne les points altimétriques,
ppli- les points de liaison et les points d'aérotriangulation. On traite ainsi tous les couples du bloc.
7.1.4. Le calcul - Lors du calcul de la compensation planimétrique d'un bloc par la mé- 4 5
thode des modéles indépendants, les erreurs grossiéres pouvant éventuellement entacher les coor- 3
données des points du canevas topographique ne posent aucun probléme du point de vue théorique |
mais pratiquement elles font perdre un temps considérable. Dans la littérature spécialisée, on |
ech- estime que plusieurs passages à l'ordinateur sont indispensables pour les éliminer. Ces passages |
re- successifs provoquent une perte de temps importante dans le cas particulier d'un ordinateur de |
taille moyenne ou petite. Il est donc logique d'organiser ce calcul de telle sorte que cet inconvé- |
nient disparaisse. Dans cet esprit, nous compensons d'abord le bloc sur base des "coordonnées- |
appareil" uniquement, les coordonnées imposées étant alors les "coordonnées-appareil'" apparte-
mbre nant au couple central du bloc et dont le mesurage a été spécialement soigné. Apres traitement
nous obtenons ainsi un bloc ayant les caractéristiques d'un couple indépendant. Peu apres, on
applique toutes les ""coordonnées-terrain' à ce couple unique. Si on détecte alors une erreur gros-
n ou i ; ; % : ; A
on sière, il suffit d'éjecter celle-ci sans toutefois être obligé de recommencer le calcul de compen- |
que sation du bloc. La méthode donne des résultats trés favorables. Aprés la transformation des coor- :
données nous obtenons les '"coordonnées-terrain' de tous les points balisés. |
iss 7.1.5. La restitution photographique - L'hypsométrie qui a été systématiquement négligée
e lors de la confection des plans cadastraux ‘dessinés’ devient primordiale si on veut aboutir à un |
q document à buts multiples. La représentation du relief ira même jusqu'à conditionner la méthode |
ji de travail. Une représentation altimétrique directe par courbes de niveau continues lors de la res-
aio titution photographique est techniquement impossible puisqu'on balaye le modèle par profils tandis |
e qu'une courbe de niveau suppose une exploration suivant une direction quelconque. L'obtention des |
G courbes de niveau par voie optique (drop-lines) ou par voie électronique (segments droits) n'a pas |
donné satisfaction dans la pratique à cause de la précision relativement faible et du travail manuel X
complémentaire. En plus, une restitution indépendante des courbes de niveau entrafe un surcroft :
aires de travail considérable. La méthode la plus économique consiste à enregistrer les cotes altimétri-
la ques à des intervalles réguliers lors du balayage et à procéder ensuite à une interpolation numérique. | |
met- Par la suite, on dessine automatiquement les courbes de niveau sur une feuille transparente super-
posable à l'orthophotoplan. La vitesse de balayage est contrôlée par l'opérateur et est fonction des |
rini dénivelées existant dans le profil parcouru. |
accu- 7.1.6. Complétement des documents - Le complétement de l'orthophotographie d'une part
t pas et du document qui contient les courbes de niveau d'autre part est inspiré par la révision ultérieure
des de l'orthophotoplan. En effet, le complétement de l'orthophotographie concerne uniquement les élé-
er- ments variables dans le temps, tandis que le document hypsométrique sera complété par les élé-
el- ments à caractére permanent.
i Par "éléments variables' on comprend :
je - les limites parcellaires de la propriété D.
le “ - les limites parcellaires de l'exploitation (éventuellement) |
la - les limites entre le domaine public et le domaine privé |
é - l'infrastructure (routes et cours d'eau)
S - les limites des bois qui subissent un déversement inhérent à toute projection conique.
bles 11 212 "
| Par éléments permanents on comprend :
idi- - le carroyage par carrés de 10 em de côté
ieur - les courbes de niveau
- les limites des zones pédologiques ainsi que les symboles conventionnels
- la toponymie
mes - les points topographiques qui constituent l'élément commun entre l'orthophotographie
| ; et le document hypsométrique.
carré.
^ans- 7.1. 7. Reproduction de l'orthophotoplan - Si on désire assembler deux ou plusieurs ortho-
>sti- photographies, on a intérêt à les restituer sous forme de positifs, Les assemblages sont transfor-
ques més en négatifs. La superposition du négatif de l'orthophotographie et du positif des courbes de
niveau donne alors le positif final. Si l'assemblage n'est pas nécessaire, la restitution en négatif
isés. peut être combinée directement avec le positif du document hypsométrique complété. Par super-