Die Anlage 9 führt 5 deutlich von-einander abweichende Verfahren auf. Leistung und
Aufwand der 5 Móglichkeiten sollten gesehen werden unter Berücksichtigung der Tatsache, dass
eine terrestrische Einmessung eines Gebàudes heute 100 - 200 DM kostet.
Eine grobe Einteilung der Moglichkeiten ergábe folgende Abstufung :
1) vorläufige, nicht endgültige aber billige Darstellung
2) graphisch endgültige Darstellung ohne Zahlennachweis
3) numerische Darstellung, die der konventionellen Form vergleichbar ist.
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N
Dachgrundriss
Solange terrestrische Ermittlungen der Dachüberstände unterbleiben, sollte der Gebäu-
denachweis - auch bei digitaler Auswertung -
a) graphisch erfolgen aber
b) mit zuverlässiger Genauigkeit (1-2/10 mm in der Karte) und
c) als Dachgrundriss mit eigener Signatur :
4.3. Wirtschaftliches Standardverfahren mit guter Qualität
Das entscheidende technische Problem ist die voll vertrauenswürdige Einpassung des
Luftbildes - das heisst : der im Luftbild nur topographisch sichtbaren vermutlichen Eigentums-
grenzen - in den vorhandenen Nachweis der Eigentumsgrenzen der Katasterkarte.
Eine digitale Auswertung mit rechnerisch optimaler Einpassung und mit automatischer
Kartierung ist hierfür das geeignete und wirtschaftlich sinnvolle Verfahren.
Résumé
Levé photogrammétrique de bátiments pour le parcellaire cadastral.
1 - Le probléme du levé de bátiments et ses solutions photogrammétriques
1.1. Le probléme en général. Tous les bátiments doivent étre représentés sur les plans cadastraux modernes. Les
réalisations de constructions nouvelles requiérent, en ce qui les concerne, la mise à jour rapide et économique des plans
parcellaires existants.
1.2. Problémes posés à la photogrammétrie. Celle-ci permet le levé rapide et complet des bátiments mais il faut
résoudre les problémes suivants :
ce sont les toits des bátiments qui apparaissent sur les photos aériennes.
des angles morts sont dus à la projection conique des photos aériennes.
les emprises des bâtiments doivent être déterminées de façon précise.
la restitution des bâtiments doit tenir compte des limites foncières qui, en général, ne sont pas visibles sur
les photos aériennes.
a)
b)
c)
d)
2 - L'utilisation de la photogrammétrie
2.1. Prise de vues aériennes. L'échelle des photos doit être maximum pour permettre une restitution précise des
contours des bâtiments et des limites du parcellaire apparent.
2.2. Adaptations graphique et numérique des limites du parcellaire apparent aux limites du parcellaire cadastral
grâce à des détails topographiques situés sur les limites cadastrales et identifiables sur les photos.
2.3. Restitution stéréoscopique des limites de toits : graphique et digitalisée sur Planimat dans le cas de nombreux
bâtiments, à l'aide du PSK dans le cas de maisons isolées.
2.4. Représentations - photographique par un agrandissement de la photo aérienne
- graphique par le plan parcellaire
- numérique par le répertoire des coordonnées.
3 - Résultats de restitutions photogrammétriques de bâtiments
3.1. Importance des travaux exécutés à ce jour en Basse-Saxe : en une année levé de 150 km2 de zones urbaines
comportant 15 000 bâtiments non encore cadastrés.
Echelles des photos : 1:1 700 - 1:3 300 - 1:6 000
Distances principales : 150 mm, 300 mm, 600 mm
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