Quand le vol a été effectué, il a fait un temps trés
favorable, On a pris des photos en couleurs de 1000 m de hauteur,
Sur ces photographies se voient les dégâts causés par les eaux
Stagnantes. Les photos des différentes parcelles ont permis de
distinguer nettement les mêmes taches, lesquelles on a définie
comme dégâts causés par l’eau au suit du premier vol. Malgré que
beaucoup de parcelles ont étés entretemps sursemées, - en géné-
ral avec de l'orge de printemps, - on a pu bien identifier les
taches, La, l'application du film en couleur a été particuliére-
ment avantageuse, parce que la semence a une autre nuance verte,
et ainsi sa distinction a été facilitée. Aussi on a pu distingu-
er la couleur différente des mauvais herbes ou de la végétation
marécageuse qui ont pris la place““’la culture détruit par l’eau.
On a constaté en examinant les différent parcelles,
que sur ce terrain plat, sans pente, ce sont souvent les machi-
nes agricoles, qui donnent au cours de leurs passages la forme
au micro-relief, où sur les sols de mauvais conditions hydriques
la stagnation des eaux survienne, Sur ces endroits après que
l’eau s’est retirée, on peut voir quel a été la surface couverte
par l’eau, parce que le sol y est colmaté, les mottes de terres
sont fondues, la surface du sol est devenue lisse, couvert par
une fin couche de glaise. Ces surfaces se voient sur les photos
comme des taches claires, qui se montrent nettement parmi la vé-
g£étation rare, Les surfaces totalement dévastées sont des taches
claires, avec une limite distincte où on peut voir des parties
encore couvertes par l'eau, La destruction partielle des cultu-
res est en général facile à distinguer, comme indiqué plus haut,
par les taches plus claires qui suivent les creux et les parties
plates, et qui se continuent souvent dans les lignes paralléles
à la direction de cultivation de la terre. Le dépérissement
s’est montré de la méme manière sur tout le terrain d'essai,
ainsi on a fait la conclusion que la révélation d'une parcelle
suffit pour gagner des données de référence, lesquelles on peut
utiliser en les extrapolant, de constatez la situation des
parcelles voisines, |
Une autre conclusion oü on s'est abouti est, qu’on
peut définir longuetemps aprés le recul des eaux les surfaces en-
dommagées, alors on peut attendre le beau temps, favorable a la
fotographie aérienne, On n'est pas obligé de prendre les vues
exactement, quand les parcelles sont encore couvertes d’eau,
quel fait est souvent accompagné par des conditions météorolo-
giques défavorables,
Les résultats acquis au terrain d'essais de la compa-
raison de l'évolution des dommages en utilisant des photos
aériennes et la méthode traditionnelle par visites sur les lieux
ont montrés une différence de 2,5 % du total des dommages esti-
més, dans des semences du froment d’automne /voir tableau 1./.
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