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ifférentes valeurs des courbes de réflectance d'une méme station pour
iodes de mesure sont les plus grandes. Comme pour une période,les va-
sont du même type tout au long de la bande spectrale, un point a été
a longueur d'onde 675 nm pour qualifier la période considérée. Cela a
élaboration du tableau 2 qui donne les différentes associations bota-
des stations qui leur correspondent puis les positions relatives des
riodes (Avril, Mai, Juin, Juillet) à la longueur d'onde 675 nm. Rappe-
675 nm si la réflectance est faible, la végétation est couvrante et
llienne ; si la réflectance est forte, la végétation peut soit ne plus
étre chlorophyllienne, soit étre fleurie, soit étre chlorophyllienne et non
fleurie mais ne recouvrant pas totalement le sol.
par leur,
des plant
sol par 1
les on ne
ce mois que des stations étudiées en 1980 ou 1981 et appartenant
Sur le tableau 2, le comportement spectral des stations s'explique
composition botanique,. 1'état physiclogique et le stade phénologique
es les plus abondantes et par le plus ou moins grand recouvrement du
a végétation.
Il faut remarquer que des stations étudiées en 1982 et pour lesquel-
dispose que des données d'Avril, ont un comportement identique pour
à la méme asso-
ciation botanique.
Il semble qu'il y ait une certaine constance dans les résultats.
B - DONNEES BIOMETRE
ment en 1
Les données Biométre ont été acquises en 1980 et 1981, malheureuse-
981, elles ne concernent qu'un faible nombre de stations et en 1980,
suite à une panne, on ne dispose de données que pour Mai, Juin, Juillet. Il
faudra attendre la fin de la campagne 1982 pour tenter une classification des
stations
sur un nombre suffisant de données.
Il a néanmoins été possible d'étudier les variations du rapport IR/R
en fonction des stades phénologiques et de l'état physiologique des végétaux.
C'est ce que montre la figure 3. Les valeurs d'IR/R sont trés faibles si l'on
vise un sol nu sans végétation. IR/R est faible s'il s'agit de fleurs jaunes
comme cel
les de Senecio jacobea, ou s'il s'agit d'eau libre. Par contre, les
valeurs sont plus fortes quand on vise des graminées séches et encore plus for-
tes s'il
IV.- CONC
s'agit de la végétation chlorophyllienne.
LUSION
regrouper
L'utilisation de données radiométriques de terrain doit permettre de
des stations de prairie permanente appartenant aux mémes unités phyto-
sociologiques, possédant donc une composition floristique assez semblable et
croissant
dans ces conditions écologiques déterminées et semblables.
L'utilisation de données multitemporelles permet en outre de s'af-
franchir des problèmes liés aux phénophases colorées des plantes des prairies.
En effet
la comparaison de données acquises à des dates différentes permet
d'utiliser ces phénophases comme descripteurs supplémentaires des unités botani-
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ques. On peut espérer par une telle méthode arriver à classer plus précisément
les prair
ies permanentes et utiliser les résultats de terrain pour réaliser une
cartographie des prairies à partir de données aériennes de télédétection.
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