>. Les
lu
SC
calcul
mp de
10lo-
IX de
deux
|t penser
lir cette
‘extra-
Ss les
des
érer
e
en
1.
toutes
site
rt
>
= x
9 Mi EEE
a. WE RS o rss
RIN
ER
NOCTES
=)
p
Fig. 6 - Polarisation linéaire ($) de la lumiére par un couvert de blé en
fonction de l'orientation de la visée. L'azimuth est compté à partir
de“celui®du soleil.
(A) mesures du 19 Juin 1976
(B) mesures du 17 Juillet 1976
(D'aprés VANDERBILT et al. (22))
- de la géométrie du systéme soleil, surface étudiée, capteur,
(orientation de l'axe de visée par rapport au soleil, inclinaison de la visée
sur le plan horizontal, angle d'ouverture du radiométre)
- des paramétres du capteur (bande spectrale, largeur de bande,
sensibilité).
Les bandes relativement étroites et la résolution spatiale fine des
spectroradiométres utilisés au sol permettent essentiellement d'améliorer nos
connaissances de base sur les phénoménes qui entrent en jeu. Mais ces données
spectrales fines ne sont pas directement utilisées dans les systèmes imageurs
des satellites actuels tels que les LANDSAT, ou devant être prochainement
lancés comme LANDSAT D.T.M. ou SPOT. Chacun d'eux utilise des bandes spectrales
beaucoup plus larges et un certain nombre des ‘succès obtenus jusqu'à maintenant
dans la classification des cultures l'ont été en utilisant des techniques rela-
tivement simples (combinaisons linéaires de canaux de Landsat). Avec l'arrivée
de Landsat-D TM ou de SPOT qui utilisent des bandes spectrales plus étroites
et ont une meilleure résolution spatiale, on peut penser que des algorithmes
plus complexes pourront être développés. La question fondamentale ici est :
comment utiliser les mesures spectrales et biologiques au sol pour tester ces
algorithmes. Le méme type de questions peut d'ailleurs étre formulé pour les
autres domaines de la télédétection spatiale tels que la géologie, l'océano-
graphie...
On peut essayer d'avoir une approximation des données des futurs
satellites à partir de simulations effectuées à l'aide de scanners multispec-
traux embarqués à bord d'avions (23) (24). Ces simulations permettent d'acqué-
rir des images avec une haute résolution spatiale que l'on dégrade ensuite pour
simuler la taille des pixels. Ces données servent alors à simuler les effets
d'absorption atmosphérique, d'angle de visée...
2.2.2. Dans l'infrarouge thermique
Dans l'infrarouge thermique, la température radiative de surface
est déterminée soit à l'aide de radiothermométres portables, au sol soit à
l'aide de scanners embarqués à bord d'avions ou de satellites. Pour interpréter
les images thermiques fournies par les scanners, il est non seulement nécessaire
de tenir compte des effets atmosphériques, mais il faut également savoir quelle
est la signification de la température radiative mesurée. Pour celà, il faut
tenir compte des paramétres de structure de la couverture végétale, de son
état physiologique (alimentation hydrique) et également des paramétres externes
tels que là vitesse du vent, la température de l'air et du sol (25) (26).
351
LL -- ———