Full text: Actes du Symposium International de la Commission VII de la Société Internationale de Photogrammétrie et Télédétection (Volume 2)

   
raphie automatique 
nt souvent dans 
dues au fait que 
ns l'image et que 
usieurs lieux de 
spécialiste de 
ses connaissances 
une démarche 
l'initialisation 
ntraînement. 
| cas simple : il 
llée de la 
nt identiques 
dsat. 
| totalement 
re des images 
ée par ordinateur. 
" des laboratoires 
par le comité 
LATION 
dans ce papier 
préhension visuelle 
étation. 
euvre de base de 
héorique permet- 
me thématique 
use 
— Toulouse 
' Physiques et 
posé. Une procédure logique reliant les trois phases suivantes s'impose : 
Phase A : la nature des phénoménes naturels étudiés est la conséquence des lois 
Phase B : 
Phase C : 
régissant le développement des écosystèmes. La connaissance de ces 
lois est indispensable à la compréhension des paysages observés. 
l'obtention d'informations sur ces phénomènes naturels par télédé- 
tection est faite par l'interprétation de l'image. Il est donc 
nécessaire d'élaborer des régles d'interprétation objectives et 
logiques correspondant aux lois de l'écologie et de la géographie 
des paysages. 
l'automatisation de ces règles d'interprétation est le moyen de 
simulation numérique recherché. Des algorithmes adaptés reproduiront 
ainsi les règles d'interprétation. 
Le schéma général suivant peut ainsi être proposé : 
  
Phase A —> Phase B > Phase C 
  
des 
Lois de développement 
Règles d'interprétation | Algorithmes de simulation 
écosystèmes 
  
Con 
phénomènes naturels 
Automatisation des 
critères et des règles 
Critères et règles 
d'interprétation objectifs 
naissance des 
  
  
sur le terrain 
Objet Texture 
dans la donnée-image 
Symbole 
dans l'image-résultat 
  
  
  
  
se situen 
souvent r 
entre les 
au fait q 
étudié. 
être actu 
tection. 
photointe 
terrain. 
faculté d 
le dévelo 
existe le 
problèmes de réseaux (GUY, 1970 ; BOUILLE, 1973 ; FONTANEL, 1974 ; BRACONNE, 1975), 
ces bases 
(à l'exce 
automatiq 
Ce modèle de procédure laisse supposer que les difficultés essentielles 
t à l'automatisation entre les phases B et C. En effet, les résultats 
emarquables obtenus par photointerprétation indiquent que les relations 
phases A et B ont été largement maîtrisées. Cette cohésion est due 
ue les photointerprètes sont fréquemment des spécialistes du thème 
Paradoxalement, l'imbrication étroite des deux premières phases parait 
ellement une limitation au développement du modèle complet en télédé- 
Ainsi, les règles d'interprétation utilisées relèvent souvent de la 
rprétation globale dans laquelle interviennent les connaissances de 
Or, la réalisation d'algorithmes exécutant ces règles impliquent la 
e produire des critères objectifs faisant appel uniquement à l'image. 
C'est donc d'une photointerprétation analytique performante que dépend 
ppement des relations entre phases A, B et C. Malheureusement, s'il 
S bases théoriques des graphes pour ce type d'interprétation dans les 
sont pratiquement inexistantes dans la photointerprétation aréolaire 
ption de travaux en URSS peu diffusés) nécessaire en cartographie 
ue de la végétation. 
  
  
  
  
   
 
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.