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I n'y a donc pas lieu de distinguer différentes approches de photo-
interprétation analytique puisque le principe ne change pas. Cette compréhension
permet d'identifier un élément d'image a partir de :
- la nature de ses caractères,
- l'organisation de ses caractères.
L'imbrication de ces deux termes conduit à apprécier la "texture" de
l'élément considéré. La texture dans une image peut ainsi étre considérée
comme le produit suivant :
Texture = Primitive % Arrangement.
La simulation numérique de 1'interprétation d'une texture doit donc
modéliser les critères et les règles définissant la (les) primitive(s) et la
(les) règle(s) d'organisation de ces critères.
II.2.3. Critères et règles d'interprétation
La définition de caractères et de classes de caractères dans l'image
utilise des critères qui définissent :
- la couleur, la forme et la dimension des éléments de primitives
(une classe d'élément = une primitive)
- l'organisation, le placement et les positions relatives des éléments.
Les critères nécessaires peuvent être groupés en trois familles
principales :
- critères énergétiques (ou d'intensité)
Ils définissent la densité optique, le ton de gris, la couleur ou
la signature spectrale. Ils correspondent souvent à la première
interprétation pour les principales classes d'objets dans l'image.
- critères géométriques :
Ils définissent la forme, la dimension des éléments et leur orga-
nisation lorsqu'elle est ordonnée ou donne lieu à des relations
de position typiques. Ils consistent principalement en surface,
périmètre, corde, chemin géodésique, direction, noeuds, etc...
La nature de leurs limites communes sont également des critères
géométriques (frontières, squelettes). Ces critères relèvent
essentiellement de la géométrie, de la topologie ou de la morpho-
logie. Ainsi, dans le domaine de la morphologie mathématique, les
algorithmes existant (SERRA, 1982) paraissent adaptés à la simulation
de critères géométriques d'interprétation.
- critères statistiques :.
Ils définissent l'organisation et l'arrangement des éléments lorsque
leur répartition est aléatoire. Ils prennent en compte la densité
des caractères, leur fréquence locale dans un ou plusieurs environ-
nements immédiats. Ces critères sont en jeu lorsque :
* le pixel ou la plus petite partie visible de l'image sont de
dimensions supérieures ou égales aux éléments clairement iden-
tifiés du paysage (avec une approche ponctuelle au niveau du
pixel).