1/500, apres une
; ces levés avec
niques.
lité sont couram-
particulier, en ce
/és thermiques a
s et fertiles. Les
"fois trés claire-
la végétation et
lité ou la proba-
ies de surface.
,
missions thermi-
ces levés ther-
' ou de galeries
helles comprises
es levés ont été
néral nocturnes,
ée de la nuit et
eurs gradients,
qualitative de la
tion de la conti-
massif, ou, au
ages aussi bien
utions partielles
déjà fait l'objet
les de ressour-
(2), (3). H est
5 aux études de
dans le temps et
, dont on veut
lité dans le cas
'est-à-dire sur
n complexe du
ive, elle-màme
ngueur d'onde
conductibilité
t, surtout, de
ropes et homo-
vités de formes
isqu'à ce jour,
ilierement bien
tir de données
acquises par satellite. Ces modéles ont été utilisés pour nos interprétations mais
sous forme trés partielle et avec prudence. (L. CAILLON (6), J.M. METIVIER (7).
Dans le cas de l'étude de sites de barrage, deux types de levés thermiques
sont réalisés : les levés à terre avec l'appareillage léger et les levés aériens par
hélicoptére. Nous en donnons un exemple dans cette publication.
2.2. Matériel et méthodes
Les levés aériens sont effectués à partir d'un appareillage consistant en un
spectrographe multicanaux Daedalus fourni et mis en oeuvre par l'Institut Géogra-
phique National, opérant dans la fenêtre 8-13 Hum. ll s'agit d'un appareillage
classique, déjà largement utilisé en France et à l'étranger pour notre laboratoire.
Les levés à terre sont réalisés à l'aide d'un matériel léger (fig. 1), dont la
masse totale est de l'ordre de 70 kg et comprend (*)
e une téte de mesure, comportant un équipement tournant à 16 tours /seconde
et captant les émissions dans la fenétre de 2,2- 4 um ;
e UN équipement d'amplification linéaire traitant le signal qui est ensuite
transmis a un enregistreur a laser, à enregistrement photographique par dévelop-
pement thermique, donnant une image de 20,5 cm de largeur. L'image photographi-
que du levé est livrée, exploitable, 30 secondes environ aprés le balayage. Cette
image comporte déjà une digitalisation à 16 niveaux de gris.
A chaque tour de l'équipement mobile de la téte de mesure, un étalonnage est
effectué d'une part sur une source émettrice à réoulation électronique, d'autre
part, sur la température de l'azote liquide. La précision de l'appareillage, à la
sortie de l'amplificateur est de 1/10 degré C, température d'émission.
Le signal peut être également enregistré sur bande magnétique. La digitali-
sation du signal peut être réalisée soit à partir de la bande magnétique, soit à
partir du document photographique. Même dans ce dernier cas, la précision est
largement suffisante et le repérage suffisamment précis pour le type de travaux
demandés.
Cet appareillage de télédétection thermographique rapprochée qui peut four-
nir des levés sur des distances de 1 mètre à 500 mètres, est désigné dans ce qui
suit par T.T.R..
3. EXEMPLES
De l'ensemble des études réalisées à partir des levés thermiques, soit par
voie aérienne, soit à terre, soit par les deux procédés, nous avons choisi 5 exem-
ples significatifs (**).
L'exposé résumé des résultats obtenus a trait à deux études effectuées l'une
en Espagne, sur un tunnel ferroviaire, l'autre en Suisse, sur une galerie d'amenée
d'eau à une usine hydroélectrique. Un autre exemple expose une étude de falaise
exécutée en Suisse. Une surveillance de chantier de congélation de sols assurée
(*) La tête de mesures et l'ensemble électronique sont fabriqués par la Société
AGA. L'enregistreur de type VISOR est fourni par la Société SORO. L'ensemble de
l'appareillage est la propriété de la Société AIR GEODETECTION de Vollèges,
Canton du Valais, Suisse.
(**) Parmi les principales études du domaine du Génie civil réalisées à cette
date par le L.R.M.R., neuf barrages au total ont été étudiés par cette méthode :
cinq en France, deux en Suisse, un à la frontière franco-suisse en un ens Irans
Neuf tunnels ferroviaires et galeries d'amenée ont été levés quatre en France,
deux en Suisse, deux en Espagne, un en Ecosse ; parmi les autres travaux, cinq
études de falaises, deux en France, trois en Suisse et un chantier de congéla-
tion de sol à Nice, surveillé par thermographie.
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