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So far as I am concerned, one of the major advantages of an international
society of this kind is the opportunity to meet colleagues and friends from
other countries. For this symposium we expect to have approximately 500
registrants before the week is over, and they come from 63 different countries.
You will have the opportunity to meet old friends and to make many new friends
so that this may become a Society no just of technical colleagues but also of
friends. As a first introduction to that I suggest that right now, you turn to
your neighbors right and left and introduce yourself and shake hands. I am sure
that during the week you will forget the names of the people with whom you have
just spoken. If that happens, do not be too proud to ask again "what is your
name" or to look at the name tag and do discuss with one another not just about
the technical topics, but also share the hopes and aspirations which are close
to your heart. In my opinion international friendships are the best way to
assure peace on Earth in the future.
We have a very busy and enjoyable week ahead of us and I invite you all to
participate to the fullest.
Thank you very much.
L. LAIDET,
Président de la Commission VII de la Société Internationale de Photogrammétrie
et Télédétection,
Dans la revue de la Société Française de Photogrammétrie et Télédétection, vous
vous étiez permis récemment, Monsieur CRUSET, de rappeler que la "SIP"(1) était
“une vieille dame ou une dame plutôt âgée puisqu'elle fêtait ses 80 ans".
Depuis le début de ce siècle, des génération de photogrammètres se sont succé-
dées et ont permis non seulement d'affiner l'art de la photointerprétation mais
également d'établir les régles et les méthodes d'utilisation des données. Et on
peut dire que, désormais, ces régles sont suffisamment standardisées pour que,
devant un problème posé, on utilise des prises de vue acquises selon des normes
précises, la restitution photogrammétrique étant elle-même effectuée selon une
procédure bien établie.
La photographie puis la photogrammétrie spatiale ont commencé dans les années
1960-1970 à déranger la profession des photogrammêtres sans pour autant les
inquiéter fortement. En effet, si les géologues furent parmi les premiers ä
avoir saisi l'intérêt de ce genre de données qui leur faisaient apparaître d'un
seul coup d'oeil l'ensemble des structures et macro-structures, les photogram-
métres continuérent à considérer qu'il était plus important d'avoir un document
restitué à l'échelle et avec la précision nécessaire en vue d'une application
cartographique , ce que ne leur fournissaient pas encore les prises de vue
spatiales.
En même temps, arrivèrent les premiers systèmes appelés scanneurs ou systèmes à
balayage mécanique qui fournirent des monceaux de "pixels" en ordre plus ou moins
dispersé avec lesquels on réussit, non sans mal, gráce à l'ordinateur mais
Surtout grâce aux points d'appui au sol à donner une image que le photogrammétre
regarda d'un air perplexe et amusé, un peu comme une mére de famille regarde ses
enfants jouer avec des crayons de couleur.
(1) "SIP" Société Internationale de Photogrammétrie
"ISP" International Society of Photogrammetry