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résultats et maintenir la continuité d'un service.
Il reste donc du travail à faire et bien entendu ce travail serait à effectuer
pour tous les projets spatiaux dont on nous a listé ici la venue pour les pro-
chaines années, et dont la qualité croissante permettra en sortie un accro is se-
ment corrélatif de la qualité. Mais il est évident que le satellite n'est pas
tout ; il y a les hommes qui l'utilisent et le font marcter. Il y a aussi le
terrain : le satellite a besoin de points d'appui sur le terrain, on l'a vu
encore a ce symposium. De plus, on a besoin de données saisies en avion ; ces
données sont nécessaires soit en support aux données spatiales, soit en complé-
ment, pour d'autres objectifs, qui ne peuvent pas être poursuivis depuis l'espace.
Donc, le satellite n'est pas tout, méme si c'est autre close qu'un élargissement
du champ classique de la télédétection et de la photogrammétr ie aériennes. Cet
élarg issement d'ailleurs va gagner la géodésie ; on va probablement équ iper
les stations spatiales avec des capteurs qui seront encore beaucoup plus perfor-
mants et dont les données intéresseront simultanément, en plus des photogram-
métres et des télédétecteurs, les géodésiens. Seul le spatial pourra permettre
une telle synthése.
Voilà en résumé quelle peut-étre l'impression qui se dégage de ce symposium.
Professeur F. CAMBOU
Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs,
Je voudrais tout d'abord excuser le Professeur Preben GUDMANDSEN
président d'EARSeL qui, retenu à l'Université de Lyngby au Danemark par
ses charges d'enseignement, n'a pas pu assister à cette séance de clóture.
Par rapport à l'ancienneté de la Société Internationale de
Photogrammétrie et de Télédétection, l'Association Européenne des Labora-
toires de Télédétection a le complexe de l'àge, puisqu'elle a uniquement
six ans d'existence.
EARSeL regroupe à l'heure actuelle 150 laboratoires européens
et a accepté en outre la participation de laboratoires canadiens ; le
conseil de direction comporte les représentants de 16 pays différents.
EARSeL a identifié tous les chercheurs européens travaillant en
télédétection, en a publié la liste en y incluant les équipements des
laboratoires de maniére à favoriser les liens entre les chercheurs et
à créer ainsi une communauté de la télédétection à l'échelle européenne.
Une revue "EARSeL News", dont l'éditeur est Georges FRAYSSE, parait quatre
fois par an et fournit aux membres de l'association des informations
régulières sur les manifestations internationales en télédétection et sur
les activités des différents groupes de travail.
De très bonnes relations existent entre EARSeL et la SIPT,
à titre d'exemple, je peux dire que mon voisin à cette tribune, le
Professeur Konecny, a créé il y a deux ans un groupe de travail d'EARSeL
et ce groupe est à l'heure actuelle un des plus actifs. J'exprime le voeu
que ces relations se resserrent et que se multiplient les collaborations
entre ces organismes.
Le problème de l'enseignement a été plusieurs fois soulevé, je
voudrais signaler que dans ce domaine EARSeL a une activité spécifique
puisqu'un groupe de travail existe et que des enseignements modulaires
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