éres années des
physiques, écono-
étude utilisées,
a détermination
pe occidentale ol
igiques essentielles
rme et orientation
organisation du
antif de cette com-
séographes ruralis-
ire n'ayant encore
ente étude a pour
ature de l'apport
Jes agraires.
.; la méthode d'ap-
nspirée au départ
a France (Réf.3),
lement visuelle,
es non traitées,
es (Réf.14).
un relevé systéma-
rbes révélées dans
n classement pour
d à affiner les es-
entiellement par
éament agraire est
variant entre 200m
ations plus ou moins
hropique (Réf.1).
extraits des ban-
| juxtaposant le ma-
elles vertes - bet-
ucoup plus abondan-
styles d'organisa-
Les structures circulaires (Fig.2) des bandes 5 et 7 se com-
plétent et c'est le relevé de leurs traces cumulées qui semble le plus intéres-
sant.
Les corrélations paysagiques entre ces deux types de struc-
tures ont été systématisées (Fig.3) : directions dominantes et densité des liné-
aments, ampleur et fermeture plus ou moins marquée des cernes. Les trames liné-
amentaires serrées (style arrageois, style cambrésien) éliminent presque com-
plétement les cernes, les trames linéamentaires plus lâches les laissent se dé-
velopper ou s'imposer (cernes ovalaires de la région de Bapaume)
- Le Pays de Montreuil
Deux enregistrements de saisons et d'années différentes ont
été utilisés (Fig.5) : l'enregistrement de Juin 1975, trés riche, est complété
par une composition colorée de l'IGN ; l'enregistrement d'Août 1979, plus nébu-
leux, est surtout lisible dans la bande 7.
4. MISE EN EVIDENCE DE LA TRAME AGRAIRE
Les trames du Cambrésis (Fig.4) et du Pays de Montreuil
(Fig.5) ont été élaborées par juxtaposition des linéaments et cernes extraits
de plusieurs enregistrements, distants de 4 à 5 ans et échelonnés du printemps
à l'automne. Il n'a été retenu que les tracés communs à plusieurs années : la
stabilité de leur organisation tend à particulariser l'ossature de la trame.
- Le Cambresis
La trame des linéaments cumule l'information commune aux ban-
des 7 d'Aoüt 1975 et de Novembre 1980, ce dernier enregistrement étant particu-
liérement net et riche. La trame met bien en évidence l'opposition déjà consta-
tée (Fig.1) de part et d'autre de la dorsale forestiére du style arrageois et
du style cambrésien.
La trame des cernes agraires est extraite des mémes données.
Le cumul a été différencié suivant Tes canaux. Les cernes communs à tous les en-
registrements sont peu nombreux. Le cerne s'avère dans le cas présent comme une
trace paysagique plus difficile à capter que le linéament, plus sujette a dis-
parition ou transformation d'ampleur. La région de Bapaume et le pourtour immé-
diat de Cambrai accusent leur spécificité.
- Le Pays de Montreuil
La trame des linéaments est beaucoup plus tenue et aérée que
dans le Cambrésis. Il est intéressant de remarquer que le. remembrement opéré
entre les 2 dates pour 5 communes ne semble pas avoir désorganisé l'ossature
d'ensemble ; il l'a plutót renforcée dans ses directions premiéres.
La trame des cernes agraires ne présente que peu de formes
élaborées, les cernes en virgules étant de Toin les plus nombreux.