148 L’ÉLECTRICITÉ.
de coton verni à la gomme laque, et le tout est recou-
vert d’une enveloppe volante. Aux points nécessaires,
le câble se partage, un des fils descend dans la maison,
y traverse des appareils télégraphiques particuliers, et
remonte se. réunir au càble pour le suivre de nouveau.
L'idée de cette ingénieuse application est encore due à
M. Wheatstone ; c’est lui qui en a combiné les diverses
ns et qui a inventé les appareils de facile ma-
dispositio
areils qui présentent un
nœuvre que l’on emploie, app
e bien digne d’être signalé, celui de
pouvoir marcher sans pile, c'est à-dire de ne nécessiter
ni beaucoup de travail, ni grands frais d’entretien.
« Espérons, dit l’ingénieur à qui nous empruntons
ces détails, M. le vicomte Du Moncel, espérons que le
peuple français sera un jour assez sage pour jouir de
cette prérogative (la prérogative d’user du télégraphe li-
brement et. sans l'intervention administrative) qui lui
immense avantag
est aujourd’hui refusée b»
HORLOGES ÉLECTRIQUES
a télégraphie électrique ont encore
été appliqués à la marche des horloges, lorsqu'il est
nécessaire d’indiquer exactement la même heure en
plusieurs lieux à la fois. Sur les chemins de fer, par exem-
ple, il faut que l'heure soit la mème pour toute la ligne,
afin que toutes les circonstances de la circulation soient
parfaitement connues : on a donc installé des horloges
électriques ; l'horloge est à la gare principale à Paris,
et les diverses pendules de toutes les stations marchent
sous l’influence d’un courant régulateur.
Les systèmes des horloges électriques sont très-variés
Les principes de |
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