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CUIVRAGE GALVANIQUE.
des métallisations trés-soignées, à recevoir les dépóts.
« Telle surface, tel dépôt , » répétent constamment,
depuis l'origine, les industriels et les savants qui ont
inventé ou perfectionné cet art.
GALVANOPLASTIE MASSIVE.
La coquille galvanoplastique, c'est-à-dire le dépôt de
euivre isolé du moule, n'est solide que lorsqu'elle re-
présente des objets massifs, et lorsqu'elle est trés-
épaisse. Alors seulement le dépôt se tient seul et ne
risque pas de se briser. Généralement l'épaisseur en
est faible, et la coquille a besoin d'un support. On a.
par exemple, un moule creux; le dépót reproduira
avec une fidélité étonnante et rapide les sinuosités du
modèle ; la reproduction sera en relief, et après qu'on
aura enlevé le moule, le dépót restera seul. Mais der-
rière cette surface il s’est formé un creux, représentant
grossièrement les principales anfractuosités du mde:
et si l'épaisseur est faible, si l'objet, par exemple, e
une longue tige sculptée, une baguette ornementée, a
coquille n'a plus aucune solidité.
Pour remédier à cet inconvénient, la maison Chris-
tofle comble le vide intérieur de la coquille avec un métal
particulier. On remplit ces creux de fils et de morceaux
de laiton, puis avec un chalumeau ordinaire, on chauffe
ces fils. Le cuivre jaune fond à une température bien
plus basse que celle qui est nécessaire pour la fusion
du cuivre rouge. Le laiton intérieur fond, remplit le
vide, se répartit uniformément partout, et l'enveloppe
n’est ni fondue, ni même déformée : elle conserve exac-
tement la forme de la surface sur laquelle elle a été dé-