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LE CORAIL. S0!
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Révons donc, sans savoir ce que c’est que de so
| réver, révons donc que nous vivons à une époque ir
AM oü des navires sous-marins peuvent conduire les en
touristes au milieu des foréts d'amphitrites. Nous il
voilà libres, heureux comme des poissons dans de
leau, au milieu de ces futaies exubérantes de pl
vie, et dont l’aquarium du boulevard Montmartre ve
ne nous donne qu’une faible image. le
Quels sont ces troncs rougeâtres qui, plus heu- m
reux que nos chénes, n'ont à trembler sous le es
souffle d'aucun vent d'orage? Le rayon de soleil CC
qui, glace, satine par son passage à travers ce di
cristal, vient frapper encore notre réverie aérienne, à
nous permet de reconnaître des rameaux de corail di
sculptés, fouillés, ornementés avec une richesse p
dont nos futaies devraient rougir!