Full text: Les merveilles de la gravure

    
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15 
  
LA GRAVURE EN ITALIE. 
tiere coloree et particuliére nommée nigellum, qui, 
une fois en place, interdisait toute empreinte), que 
lorsqu'ils étaient parfaitement éclairés sur le ré- 
sultat définitif. Le jour où ils s'apercurent que le 
papier humide, soumis à une forte pression sur 
la plaque imprégnée d'une certaine encre, pou- 
vait donner le même résultat, ils renoncèrent au 
soufre, et leurs essais sur le papier furent des es- 
tampes. Mais ce ne fut pas immédiatement que l’on 
comprit les avantages d’une telle découverte et le 
parti qu'on en pouvait tirer ; longtemps les orfévres 
se bornérent à impri- 
mer seulement le pelit 
nombre d’épreuves uti- 
les à la marche de leurs 
travaux, et c’est à cette 
insouciance sans doute 
qu'il faut attribuer l'ex- 
tréme rareté de ces es- 
tampes primitives et le 
prix élevé que les ama- 
teurs y attachent. (L'ad- 
jectif neutre nigellum a 
été traduit en français 
par le substantif nielle, 
qui s'appliqueindistinc- 
tement à la plaque et à l'épreuve qu'elle fournit.) 
Tous les nielles sont loin de présenter un égal 
mérite; quelques-uns, n'était leur rareté, seraient 
  
Fig. 1. — Nielle italien. 
   
    
    
  
  
   
   
   
   
   
  
  
   
  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
  
   
   
  
   
   
   
	        
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