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INTRODUCTION.
dont les Japonais font les cloisons de leurs demeures
et leurs manteaux d'hiver.
Fig. 1. Barque égyptienne antique, d’après un modèle en relief
du musée du Louvre.
Il est d’ailleurs certain que, dès une époque très-
lointaine, les peuplades répandues sur les bords de
la mer Rouge et sur les côtes de l’Inde, avaient ac-
quis de même que les Égyptiens et les Phéniciens
de très-remarquables connaissances pratiques dans
l'art de naviguer. Leurs radeaux, construits de ro-
seaux, étaient d’une rare légèreté. Quelques-uns
de ces roseaux étaient d’une grosseur si prodigieuse
qu'on pouvait à peine en embrasser le contour. En
le fendant en deux parties égales, et en bouchant
les extrémités avec des claies de jonc, ces naviga-
teurs se construisaient deux esquifs-jumeaux assez
solides pour contenir chacun un homme.
Plus tard, on voit au bord occidental de l’Asie et