121, 122]
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[123]
traire expressement (p. 323) que la courbe biquadratique et la cubique
sont d'un méme degré ou genre.
Quant à notre méthode qui réduit tous les problemes à l'infini, à
savoir ceux d'équations de la troisieme et quatriéme puissance, à des
courbes du second degré; ceux de la cinquieme et sixiéme puissance,
au troisieme degré; ceux de la septiéme et huitieme puissance, au
quatriéme degré, et ainsi de suite indéfiniment, nous ne différerons
pas de la communiquer à tous ceux qui regarderont comme un tort de
dissimuler au préjudice de la vérité une erreur quelconque, füt-elle
de Descartes.
Qu'on ne s'arréte pas à ce que les problèmes qui montent à la
seconde puissance, et qui sont de la même espèce que les problèmes
du premier degré (étant appelés plans comme eux), ont besoin du
cercle, c'est-à-dire d'une courbe du second degré. Cette objection
trouvera sa réponse spéciale quand nous donnerons notre méthode
générale pour résoudre tous les problémes absolument par les courbes
qui leur conviennent.
DISSERTATION EN TROIS PARTIES.
113
SECONDE PARTIE DE LA DISSERTATION.
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Pour satisfaire à l'engagement que j'ai pris publiquement, je donne
ma méthode générale pour la solution des problèmes quelconques par
les courbes qui leur conviennent en propre.
J'ai déjà dit, dans la première Partie de cette Dissertation, que les
problèmes de deux degrés immédiatement consécutifs, par exemple
3 et 4, 5 et 6, 7 et 8, 9 et 10, etc., ne réclament qu’un seul degré
de courbes. Ainsi ceux des puissances 3 et 4 se résolvent par des
courbes du 2° degré; ceux des puissances 5 et 6, par des courbes du
2* degré, etc., à l'infini.
Voici la manière d’opérer. L’équation donnée quelconque, qui ne
renferme qu’une quantité inconnue, sera d’abord ramenée au degré le
plus élevé, je veux dire le pair; puis on la débarrassera du terme où
entre l'inconnue au premier degré. Cela fait, il restera une équation
+
FgnMAT. — lil