(151, 152]
jon qui
[152, 153]
MAXIMA ET MINIMA.
latifs pour obtenir ces divisions), on aura, apres la division,
135
dzb + dae — zae + bae — dza + dze,
ible mé-
ves dont
a Section
dont les
difficiles
nis B, D,
pport des
| rapport
» d'apres
10yens et
ns CONVE-
— dse?.
e, si l’on
{zb, et de
nes corré-
égalité qui donne la constitution des deux équations corrélatives.
Pour passer de cette constitution au minimum, il faut, d'apres la
méthode, faire e — a, d’où
dzb + da? — za? + ba? = 2dza :
la résolution de cette équation donnera la valeur de a, pour laquelle
le rapport proposé sera minimum.
L'analyste ne sera pas arrété par ce que cette équation a deux ra-
cines, car celle qu'il faut prendre se trahira d'elle-méme, quand on ne
voudrait pas la reconnaitre. Méme avec des équations ayant plus de
deux racines, un analyste tant soit peu sagace pourra toujours se servir
de l'une eu de l'autre de nos méthodes.
Mais il est elair, d'apres l'exemple que nous venons de traiter en
dernier lieu, que la premiere de ces deux méthodes sera en général
d'un emploi peu commode, par suite de ces divisions répétées par un
binome. Il faut done recourir à la seconde qui, quoique simplement
dérivée de la premiére, comme je l'ai dit, procurera aux habiles ana-
lystes une facilité surprenante et d'innombrables abréviations; bien
plus, elle s'appliquera, avec une aisance et une élégance bien supé-
rieures, à la recherche des tangentes, des centres de gravité, des
asymptotes et autres questions pareilles.
C'est done avec la méme confiance que jadis, que j'affirme toujours
aujourd'hui que la recherche du maximum et du minimum se ramene
à cette règle unique et générale, dont l’heureux succès sera toujours
légitime et non pas dà au hasard, comme certains l'ont pensé.
Soit a une inconnue (voir page 121, ligne 6 à ligne derniere)... sa
premiere expression.
S'il reste encore quelqu'un qui considere cette méthode comme due
à un heureux hasard, il peut bien essayer d'en rencontrer un pareil.