[156, 151]
e de sur-
[157]
MAXIMA ET MINIMA.
La méthode conduira à l'équation
139
b
a
-- — 3 ba
3 = 2
4a
,
ıteur du
d’apres
} == vba,
juée con-
udre celle
dont le degré s'abaisse immédiatement (') :
4 a? — ba — b*;
la solution est dès lors évidente.
Nous ne nous arrétons pas davantage sur un sujet désormais éclairet ;
on voit comment, en recourant à une troisième ou à une quatrième
inconnue, et, s’il le faut, en multipliant encore le nombre des posi-
tions auxiliaires, on peut se débarrasser des radicaux et de tous les
autres obstacles qui peuvent arréter l'analyste.
- Cependant, et quoique l'invention des tangentes découle elle-même
de la méthode générale, on peut remarquer que, dans certains cas,
les questions de maximum ou minimum peuvent se résoudre plus
élégamment et peut-étre plus géométriquement, au moyen de la con-
struction d'une tangente.
Donnens-en un seul exemple, qui peut valoir pour plusieurs :
Dans un demi-cercle FBD ( fig. 100), on méne la perpendiculaire BE:
on demande le maximum du produit FE >< EB
. solution
er le pro-
ngle CBA,
ce cas, la
is aurons
us voulons
naximum.
n*
TT bab a
de la don-
xima.
Si, d'aprés notre méthode, on cherche à construire le rectangle
FE x EB en s'en donnant la valeur, la question se ramène à décrire
une hyperbole ayant pour asymptotes AF, FC, et pour laquelle les
produits des abscisses FE parles ordonnées EB aient la valeur donnée;
(^) En tenant compte de la racine a = —