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x
(EUVRES DE FERMAT.
r182, 183]
On aura
511 2 — gle? + z! de — a? de == n° e — bae.
Divisez par e jusqu'à ce qu'un terme soit entièrement débarrassé de e:
gle — a3e -- gd — add = n?e?— bae?.
Cela fait, cette nouvelle équation sera, par rapport à la seconde
inconnue, d'un degré moins élevé que la plus haute des deux pro-
posées en premier lieu. On voit en effet que dans la plus haute des
deux premières proposées entre e*, dans cette dernière, le terme le
plus élevé par rapport à e est en e.
Il ne faut pas s'arréter ici, mais réitérer la proportion sur la double
équation, jusqu'à ce qu'on ait ramené la seconde inconnue au premier
degré, afin d'éviter tout radical.
Préparons donc cette dernière équation de la manière prescrite et
formons un membre de l'équation avec tous les termes en e, quels
qu'ils soient; on aura
Mg add —= nie? — bae? — ze abe,
Des deux premieres équations, la moins élevée donne, comme nous
l'avons dit :
n?— ba — €’ + de.
I
m
es
ln
Ramenez encore cette double équation à une proportion
3e ** n2— ba : e + de.
? gH e-r-gq?e:lr
3d: n?e? — bae
zug —_ a°d:n
Egalons le produit des moyens à celui des extrémes; tous les termes
pourront étre divisés par e, comme on l'a montré. On aura
‘,
all
de
mi
Me? zWd?e — a de? — a° de
p ; 3,2 52 — Halli A
-— n*e? — n? bae? — n? z!! e -- n?a? e — ban?e? + b?a?e — bs ae— ba* e.
Divisant tout par e, il vient enfin
E
gll de .- z q? — a°de — a un |
6 z — 2e + b?a?e + bz a — ba
251. n2a3 — ban
— nke n?bae — n?z
Cela fait, cette nouvelle équation est encore, relativement à la
Dl