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compris fon empatrement , & en outre ne épait-
feur de piédroit t L , fig. 1, en état de contrebuter
le fardeau de is portion de la Tout qu'il foutien-
dra fur fon fommet ? Les regles de la {olidité
n’exigent-elles pas encore de confiruire cet arc
G , fig. IT , en pierre dure , de même que fon
piédroit H I , de lui donner de plus une certaine
épaiffeur vers la clef , & enfin de garnir bien exa-
tement fes reins , en y prolongeant la queue des
vouffoirs pour les fortifier convenablement à
La plupart de ces confidérations fontrélatives
à la pratique , & au raifonnement à la fois; 1 n'y
a que l’épaiffeur 1 L des piédroits, fig. Ï , qui re-
garde la théorie, & qui ait befoin d'être déterminée
par les calculs , eu égard aux circonftances loca-
cales de la pofition de la Coupole fur l'arc & fur
le pilier ; lefquelles circonftances , comme l’on
fcait, font fufceptibles de modifier cette épailleur,
fuivant que le pilier F peut être roidi par les dit-
férents corps de maçonnerie qui y feront élevés.
Ainfi donc, le pilier F doit être principalement un
réfultat de la largeur du bas de la Tour avec fes
empattements, par la pouffée des arcs qu'il fou-
tient , & qui portent une partie de la Tour fur leur
fommet. {
Troifiémement, comme les deux plans du Dôme
font féparés par des corps intermédiaires , ou
pendentifs qui forment leur réunion, il réfulre
que la Tour, qui fera en grande partie portée fur
ces pendentifs, exercera encore une altion vers les
piliers F, les arcs & leurs parties adjacentes, à raifon
de la coupe de leurs vouffoirs ; c'eft pourquet ,
pour parvenir à connoître cette aQion & les
réfiftances à lui oppofer, il eft donc indifpenfable
de recourir à la manière d'être d’un pendentif,
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