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10 Cours
on fera für de folider la force des piédroits d'une
voûte en toutes circonftances. On ‘ait que c'eft à
à M. de la Hyre, ancien Profeffeur de l’Académie
Royale d’ArchiteQure » & membre de celle des
Sciences, qu’on doit d’avoir réfolu en 1712 cette
importante queltion concernant la poufiée des
voûtes, & que ce qui a confirmé de pius en plus
la juiteffe des principes qu’il a établis, c’eft qu'on
a obfervé que toutes les voñtes élevées depuis, &
auxquelles on s’étoit avifé de donner des épaiffeurs
de piédroit plus foibles que celles -défignées par
fa formule, font tombées ou du moins n'ont pas
fubfitté long-tems. M. Frezier en cite des exemples
dont il a été témoin dans le Tome I. de fon ex-
cellent Traité de la coupe des pierres.
Avant ce temps on n’avoit que des pratiques
groffieres , que l’on trouve répétées dans tous les
anciens livres d’Architeure, pour déterminer l’é-
paiffeur des piédroits des différentes fortes de
voûtes, François Blondel, Architete de l'admirable
Porte de Saint-Denys à Paris, qui paroiffoit bien en
état d’éclairer à cet égard, vu les grandes connoif-
fances qu’il avoit à la fois dans les Mathématiques
& dans la Conftrution , s’eft borné dans fon Cours
d'Architeëlure , a rapporter fans examen les routines
ufitées dans le tems de la barbarie gothique. « Il
» faut partager, dit-il, unarc quelconque, fig. II,
D & IV. pl LXXXVI. en trois parties égales,
» & menant une des cordes par le point de l'im-
» pofte, prendre en déhors fur la même continuée
» une ligne qui lui foit égale , &la droite menée
» à plomb par l'extrémité de cette même ligne ,
» déterminera l'épaifeur extérieure du piédroit.
» Comme fi, divifant l'arc A BCD en trois parties
» égales aux’ points B & C, on mene la corde