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permettre d'y pratiquer des ouvertures, ou que dé
les faire porter en partie en lair fur des plate-bandes:
mais, à combten plus forte raifon de pareilles licen-
ces feroient-elles impardonables , fi la voûte en
qureffion fe trrouvoit être d’une étendue confidéra-
ble & obligée de porter de grands fardeaux.
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De la manière d'augmenter la réfiflance
dun Piédroit.
ON peut ajoûtér à la réfiftance d’un piédroit ,
en le chtrgeant d'à plomb: car, en augmentant par-
là fa fermeté , on augmente en conféquence la dif-
ficulté de le renverfer. C’eft pourquoi, il n’eft pas
toujours befoin de donner dire&ement à un pié-
droit vis-à-vis d'une voûte, l’épaiffeur trouvée par
les calculs , mais feulement la réfittance qui feroit
produite par la maffe cubique que les calculs indi-
quent. Ona tiré un grand parti de cette reffource
en bien des occafions : fuppofons, par exemple,
qu'il faille à un piédroit A , figure VI. planche
LXXXVI. cinq pieds d'épaiffeur pour contenir
une voûte, 1l pourroit {e faire que l’on parvien-
droit à reduire cette épaiffeur d'un quart ; d’un
tiers, ou même de près de moitié au droit de la-
dite voûte , en chargeant ce piédroit d’une pira-
mide, d’un obélifque ou d’un grand mur de maçon-
nerie B , capable par fon poid de lui donner la même
fermeté que ledit piédroit auroit tiré ci-devant
de fon volume C, que nous avons exprimé par des
points , placé en oppofition vis-à-vis de la voûte :
car