» méCa—
pendant
solution
tre cette
ablicité,
possible
Arago,
u besoin
ur ainsi
outes les
les prin-
Jurnant ,
plusieurs
1s avions
lu centre
pas suf-
à la cir-
eur : Car
a chance
ns iden-
1iarante à
ites à un
s la con-
nai 1844.
se de six
; par une
pendu le
Om,36 de
donc des
rillons , il
iguon qui
ÉLECTRIQUE. 97
communique avec le rouage ci-dessus ; à une extrémité un volant
de quatre ailettes, et à l’autre un plateau du même diamètre que
le cylindre ;
» 3° D'un petit chemin métallique, parallèle à l’axe du cylindre ;
les deux régles qui forment ce chemin sont isolées l’une de l'autre
par de l'ivoire ;
» 4 D'un petit chariot monté sur trois roues de cuivre et rou-
lant sur les deux règles ; il porte trois électro-aimants et deux styles
indépendants l’un de l’autre, mais dépendants chacun d’un de ces
électro-aimants. Le troisième électro-aimant est placé sous le cha-
riot et sert à le retenir jusqu'au moment où l’on veut qu’il parte;
» 5° D'un échappement à ancre dont le bras en fer doux, oscil-
lant entre deux électro-aimants , est appelé tantôt à droite, tantôt à
gauche, suivant qu'un courant passe autour de l’aimant de droite
ou de celui de gauche. Ce va-et-vient laisse chaque fois échapper
une dent de la roue sur l’axe de laquelle est un petit treuil où est
enroulé un fil de soie tenant au chariot qui est tiré par un poids.
Le passage du courant d’un aimant à l’autre se fait à chaque demi-
tour du cylindre au moyen d'un commutateur placé sur son axe ;
de cette manière le chariot avance d’une quantité constante à
chaque demi-tour, et sa vitesse d'avancement est proportionnelle à
celle du cylindre;
6° Enfin d'une disposition particulière pour s'assurer du mouve-
ment uniforme , indépendamment de tout appareil chronométrique,
et qui donne le moven de déterminer les limites de l'erreur dans les
résultats finals.
» Ainsi l’appareil chronométrique a pour base le principe dont
s’est servi M. Morin pour établir ses plateaux tournants, avec cette
différence que le plateau est remplacé par un cylindre, et que le
vo'ant porte des ailettes qui sont des portions de spirale, dont la
tagente est inclinée de 45 degrés sur le rayon vecteur, ce que nous
avons trouvé préférable pour obtenir plus rapidement le mouvement
uniforme, parce que, ainsi, l'air offre une plus grande résistance
qu'avec des ailettes planes. La position de la corde qui porte le
poids moteur est rendue constante en passant sur une poulie qui
glisse sur une forte tringle ; à mesure qu’elle se développe, la corde
est mouflée sur deux poulies coniques , et peut l'être à deux ou à six
: