Full text: Traite de télégraphie électrique

   
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avec la faiblesse du ressort à réactions. Pour la réduire à un mini- 
ÉLECTRIQUE. 
muni , il était nécessaire d'emjloyer un courant tres faible et d’aug- 
menter la résistance du circuit jusqu'à ce que la force d'attraction de 
l’aimant füt réduite au point de ne surpasser que d’une faible quan- 
tité la force de réaction du ressort; mais alors l’aimant n'avait plus 
la force suffisante pour attirer le fer lorsque le projectile frappait 
le but. Cependant je surmontai cette difficulté de la manière sui- 
vante : j'arrangeai les fils métalliques du circuit de telle sorte, 
qu'avant que le boulet ne füt lancé par le canon, le courant d’un 
seul élément de très petites dimensions et réduit au degré conve- 
nable au moyen d’un rhéostat (1) aussi interposé dans le circuit, 
agissait sur l’électro-aimant. Lorsque le boulet arrivait au but, 
six éléments, sans la résistance du rhéostat, agissaient simultané- 
ment sur l’aimant. Mais, même avec ces précautions , qui sont effi- 
caces jusqu’à un certain degré, il y aencore du temps de perdu durant 
l'attraction du fer par l’aimant, aussi bien que pendant son adhé- 
rence après que le courant a cessé. La différence de ces deux erreurs 
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rendrait des approximations telles que —— ou deseconde tout 
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à-fait incertaines. Toutefois l'erreur provenant de cette source 
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peut se réduire facilement à moins de 60 ou de ri seconde, et 
dans mon opinion, un chronoscope qui divise la seconde en 60 par- 
ties et qu’on peut prouver ne donner jamais lieu à une erreur dé- 
passant une seule de ces divisions, est préférable à un instrument 
offrant des divisions plus avancées et qui donnerait lieu à des 
erreurs embrassant bon nombre de ces divisions. Guidé par ces 
expériences , je fus en mesure de construire un chronoseope très 
simple et très efficace. Un échappement très simple était mis en 
mouvement par un poids suspendu à l'extrémité d’un bout de fil 
(1) Une explication de cet instrument se trouve dans une description de 
plusieurs instruments et procédés pour déterminer les constants d’un circuit 
voltaïque, publiée dans les Philosophical Transactions de 1843, deuxième par- 
lie, et traduite dans les Annales de chimie et de physique. Cet instrument est 
représenté par la figure 1 des dessins qui accompagnent ce mémoire. Nous 
reproduirons cette description dans la partie théorique de ces recherches. 
(Vote du Rédacteur.) 
  
    
  
    
  
  
  
  
  
   
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
   
   
   
   
   
  
  
  
  
  
  
  
   
   
  
  
  
  
   
    
  
   
  
  
  
  
    
	        
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