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ÉLECTRIQUE. 107
le même temps, un autre fut fait par M. R. Adam, qui s'en est
constamment servi depuis dans ses cours à l'United service Museum
et ailleurs.
» Je mentionnerai une modification de l'appareil qui est impor-
tante pour certaines séries d'expériences : au lieu de rompre la con-
tinuité du circuit et de la reconstituer ensuite comme nous l'avons
dit jusqu'ici, l'électro-aimant est maintenu en équilibre au moyen
de deux courants égaux et opposés: en interrompant le premier cir-
cuit, l'équilibre est détruit, et en interrompant le second, le cou-
rant occasionné par la destruction de l'équilibre cesse. Le second
circuit est rompu par une balle traversant un cadre sur lequel est
tendu un fil métallique très fin disposé en lignes parallèles et très
serrées, et formant partie du circuit. Cette disposition fournit les
moyens d'employer un chronoscope totalement différent du pre-
mier. Deux pendules, dont l’un à demi-secondes, et l'autre d’un
mouvement un peu plus accéléré, sont maintenus chacun aux ex-
trémités de leurs ares d'oscillation par un électro aimant. Quand la
balle s'échappe du fusil, l'un des pendules est libéré, et quand il
rompt le fil métallique du cadre, l’autre pendule est aussi libéré. On
compte alors le nombre d’oscillations d’un des pendules jusqu’à ce
que le mouvement des deux pendules coïncide, et, d'après ce fait,
on détermine aisément le temps qui sépare les commencements des
premières oscillations des deux pendules.
» Les instruments que je construisis réellement n'avaient d'autre
objet que d'indiquer le temps écoulé entre le mouvement initial et
le mouvement final d’une balle parcourant la trajectoire. M. de Kon-
stantinoff désirait un instrument mesurant les temps correspondant
aux divisions successives de la trajectoire. Bien que je pensasse
alors et que je sois encore de l'avis qu’il est préférable de les déter-
miner au moyen de décharges successives, j'imaginai un appareil
à cet effet ; mais je n’en entrepris pas la construction en raison de
son prix plus élevé et de sa plus grande complexité, bien qu'il fût
l'objet de fréquentes conversations entre nous. C'était afin de réaliser
ces idées que M. de Konstantinoff, après son départ d'Angleterre et
ant son séjour à Paris, s’adressa subséquemment à M. Bré-
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