Full text: Traite de télégraphie électrique

   
l'illustre 
rapports, 
‘honneur 
présidé à 
ins notre 
t moi? Je 
arrivant 
rer la vi- 
ajectoire ; 
oblème à 
hée, Mon 
sisté dans 
ndants de 
ait certai- 
ar serait 
tique mes 
rs; je me 
de Saint- 
Jup mieux 
éconnu les 
_une seule 
r un juge- 
_jour qu’il 
ai en pré- 
, le dessin 
nunication 
une obser- 
vention du 
10ff? Non, 
Le savant 
giat ne püt 
le , le cou- 
t permis à 
1 en 1840, 
ÉLECTRIQUE. 111 
et qu'il avait exécuté à Londres dans les trois dernières années, 
M. de Konstantinoff, lui, savait tout ; il devait désavouer la note 
de M. Bréguet, si elle était inexacte, et la responsabilité en retombe 
sur lui. J'accorde que M. Wheastone a eu tort de ne pas s’en 
prendre principalement au capitaine russe; en admettant toutefois 
qu'il eût pu relever avec modération dans le mémoire de M. Bré- 
guet certaines phrases , dans lesquelles ses droits sont méconnus. 
Quant à la circonstance du diner, M. Wheatstone a naïvement 
répondu que les dessins lui furent en effet présentés, mais qu’ils 
étaient trop compliqués pour qu'il songeât même à s’en rendre 
compte et à les critiquer au moment de se mettre à table, ou en 
sortant de table ; il ajourna donc son jugement, et il ne lui vint pas 
en pensée que son silence, si facile à expliquer, serait un jour in- 
terprété contre lui. Il ajouta que cette interprétation l’étonnait d’au- 
tant plus que, dans un entretien qu’il eut avec M. Bréguet, à l'hôtel 
Meurice , postérieurement au diner dont il est ici question, il lui 
fit toutes les observations critiques renfermées dans la note présentée 
à l'Académie. M. Bréguet, à son tour, se souvient-il de cette en- 
trevue ? 
La note suivante est devenue une nouvelle phase de cette dis- 
cussion. 
Remarques sur le mémoire de M. Pouillet, par M. Jacomr. 
« Un article du Compte-rendu, tome x1x, p. 1384, me donne lieu 
à une réclamation que je vous prie de vouloir bien présenter à l’Aca- 
démie. Cette réclamation a trait au moyen qu’a indiqué M. Pouillet 
pour connaître l'effet qu’exerce sur l'aiguille aimantée un courant 
galvanique de très petite durée. Dans la séance de l’Académie 
impériale de Saint-Pétersbourg du 31 janvier 1838 (voir Pulletin 
scientifique, t. 1x1, p.333), M. le secrétaire perpétuel présenta à l’A- 
cadémie une lettre que je lui avais adressée et dans laquelle j'avais 
décrit mes expériences, faites à Dorpat en 1836 ou 1837, pour con- 
naitre la limite de la vitesse avec laquelle l'électricité se développe 
dans les conducteurs. Le moyen dont je m'étais servi alors pour ob- 
tenir un courant dont la durée ne fût que de a de seconde était 
9000 
le même, à quelques différences de construction près , que celui 
    
   
   
   
   
   
    
    
   
   
   
   
    
  
    
   
  
   
   
   
  
  
  
   
   
   
   
    
    
   
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.