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ÉLECTRIQUE. 397
E, échappement, où le balancier est attiré d'un côté et de l’autre
par les deux petits aimants représentés dans la figure. Sur l'axe de la
roue d'échappement est une série de poulies de divers diamètres ;
sur l’une d'elles est enroulé un fil auquel est attaché le chariot qui,
de l’autre côté, est tiré par un poids. On voit aisément que chaque
fois que la roue d'échappement tourne d'une dent, il doit avancer
d’une quantité déterminée par le diamètre de la poulie sur laquelle
le fil est enroulé.
Ce sont les trois ressorts 1,2,3, du commutateur M, qui, à
chaque tour du cylindre, font passer le courant d’abord dans un
aimant, puis au tour suivant dans l’autre, ce qui détermine Île
mouvement oscillatoire de l’échappement : ce mouvement dégage
ainsi la roue d’une demi-dent à chaque tour.
S, S, les deux styles portés par le chariot.
p, B, boutons communiquant aux tringles R et b’.
6, , boutons communiquant aux tringles R’ et b.
Les tringles R’, b, sont en liaison métallique avec le fil de l’ai-
mant 1.
Les tringles R, b’ le sont avec l’aimant 2.
Ainsi, mettant les deux pôles d’une pile aux boutons 6 etp, un
courant cireulera dans le fil de l'aimant 1 , et l'aimantera.
I cireulera dans le fil de l’aimant 9, si l’on met les pôles en p et f.
Dans cet état, les deux styles seront éloignés du cylindre ; mais
si l'on coupe l’un des fils qui de la pile arrive sur l’un des points p, B
ou £, 6, le courant sera interrompu et un style tombera.
Le courant qui passe dans l'aimant 1 passe aussi daus la pre-
mière cible, et dans le petit appareil fig. 4; et l’on dispose la roue R
de manière que la languette métallique D ne soit éloignée que d'une
dent du eliquet C. Alors , à l'instant où le boulet vient à couper la
cible , le courant est interrompu ; un style tombe sur le cylindre, la
palette À , fig. 4, qui était retenue par l’aimantation , fait un mou-
ment, pousse la roue R d'une dent, la languette D touche le cliquet C,
et à l'instant un circuit métallique est complété, un courant passe
dans le second aimant , qui alors relève sou style. Ainsi, au moyen
d'appareils comme celui de la fig. 4, en nombre égal à celui des
cibles, on voit qu’à chaque cible percée un style tombe et un autre
se relève au même instant.