146 APPAREILS TÉLÉGRAPHIQUES.
deux demi-tours de spire se complètent et représentent
chacun la moitié d’une même spirale.
Chaque touche (fig. A7) est armée à sa partie inférieure
d’une dent métallique D. Quand la touche est relevée, la
dent D n'’atteint pas les chevilles de l'arbre X placé au-
dessous, et laisse cet arbre libre de tourner sur lui-même
avec la roue A. Mais quand une touche est abaissée,
l'arbre X et la roue A, dont les mouvements sont soli-
daires, sont limités dans leur rotation, et s’arrètent néces-
sairement au moment où la cheville correspondante à Îa
touche abaissée vient heurter contre la dent D.
IL est maintenant facile de comprendre le jeu de l’ap-
pareil que la figure 48 représente dans son ensemble.
Le bouton L, fixé à une grosse pièce triangulaire de
bois, reçoit le fil de la ligne: il est muni d’un ressort mé-
tallique & qu’on peut pousser à volonté sur l’un des deux
boutons qui termment les petites colonnes métalliques /, s
La colonne s communique avec le bouton $, et, par son
intermédiaire, avec la sonnerie du poste. La colonne /
communique avec la masse métallique du mouvement
d’horlogerie, avec la roue à gorge À et le levier B. Le
il