APPAREIL MORSE, 181
lonne métallique creuse G’; la vis /’ passe dans une pièce
de cuivre fixée à l'extrémité de la colonne métallique F’
logée dans la colonne 6’, et isolée de cette dernière par
une rondelle d'ivoire. Ces deux vis /”, g’, électriquement
isolées l’une de l’autre, servent à limiter l'amplitude des
oscillations du levier D’, D'ailleurs, La vis /” est réglée
de manière que l’armature A’ puisse s'approcher très
près des surfaces polaires de lélectro-aimant E’, sans
jamais les toucher. — À l’état de repos, un ressort à
boudin 7’ maintient l'extrémité du levier D’ appuyée
contre la vis inférieure g', et l’armature A’ à une cer-
taine distance des surfaces polaires de l’électro-ai-
mant E’.
Les deux bornes C, Z, donnent attache à deux fils mé-
talliques dont le premier se rend au pôle cuivre ou posi-
tif, et le second au pôle zinc ou négatif de la pile locale.
En outre, la borne Z communique avec la colonne métal-
lique H, et par son intermédiaire, avec le levier D’ du
relais. De son côté, la borne Ccommunique avec la borne d
qui donne attache à l’une des extrémités du fil des bobines
de l’électro-aimant E de l'appareil à signaux. Enfin, la
borne e, qui donne attache à l’autre extrémité du fil des
bobines de l’électro-aimant E, communique avec la co-
lonne F’ du relais (voy. la figure 73, qui représente deux
appareils Morse en plan), et par son intermédiaire,
avec la vis /”.— Le circuit de la péle locale est donc ouvert
toutes les fois que l'extrémité du levier D’ appuie sur la
vis g'. Il est fermé quand l’extrémité de ce levier touche
la vis f”.
Cela posé, la fonction du relais est facile à compren-
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