262 CORRESPONDANCE TÉLÉGRAPHIQUE.
Cette dernière équation prouve que le courant partiel à
est d'autant plus intense, que à est plus grand, c’est-à -
dire que le point de dérivation s'éloigne davantage de la
position pour laquelle du et qui correspond à la valeur
minimum de ce courant.
Le genre de dérivation dont nous nous occupons de-
ant toujours s'établir en dehors des postes, il y a deux
positions du point de dérivation C qui correspondent à
deux raxima de l'intensité du courant partiel ?.
Pour l’une, le point de dérivation s'établit en À ; alors
æ est égal à r, ou à la résistance de la ligne dans l’inté-
rieur du poste de départ. Dans ce cas.
:
= — 1! Er
TaR + (R—7r)r
Pour l’autre, la dérivation s’établit en B; alors x est
égal à (R— r’), à la résistance detoute la ligne diminuée de
la résistance du récepteur X. Dans ce cas.
ra
= ————— EE,
Fi R+H(R—7r!)r!
Ainsi done, à partir de la position pour laquelle x =,
l'intensité du courant partiel z suit une marche croissante,
quand le point de dérivation E se déplace lui-même ve r
le point A pour lequel x = r, ou vers le point B pou.
lequel x = R —7?. Ù
L'établissement d’une dérivation diminue done toujour s
l'intensité du courant qui arrive au poste correspondant ;