382 NOTES. 
  
  
a(3a? + 4a + 1) — 
En c,latension est cc! —14" — à : als 
3 Sa 20a8 + 9142 8a+1 ? 
a32a + 1) 
En d, la tension est dd! —41/!! — , L; 
: 5a4—20 aÿ + 21a2+ 8ab1 ? 
a 
En 6, La ROASIOR est ee 
da + 20a8 + 21a2+ 8a+1 
En B, la tension est toujours nulle. 
5° Avec un conducteur AB de résistance 6r (fig. 93), partagé 
en six sections égales, et cinq dérivations équidistantes, abou- 
tissant à la terre et dont chacune est de résistance ar, si l'on 
maintient Loujours À à la tension constante AF — 1 et B en 
communication avec la terre. 
En A, la tension est AF — 7: 
; 
a(5af + 20a3 + 21a2 + 8a + 1) , 
6a$ + 35a% + 5Gaë + 36a2 + 10a +1 
&? 403 1002 + Ga + 1) 
Gaÿ + 35af +. 56a8 36a2 + 10a + 1 
En b, elle est bb! — 1! — 
  
En c...... coul — 
  
  
  
13(3a2 L 4a L 1 
End. se... ddl dl — | l; 
6a$ + 35af + 56a$—+ 36a? + 10a + 1 
ai(2a + 4 
Ene....., ee — 1 — ; de u 
6a$ + 35af + 56a3 + 36a2 + 10a +1 
aÿ 
En f....., ffl= à — Rs ss 
f il Gaÿ + 35af+ 56aë + 364? 10a 41 ? 
En B, la tension est toujours nulle. 
  
Bien que les tensions ne soient pas uniformément décrois- 
santes dans toute l'étendue du conducteur, les valeurs des di- 
verses tensions à Chaque point de dérivation prouvent qu’à l'état 
permanent, la tension d'une tranche quelconque reste propor- 
tionnelle à la tension de la source, comme dans le cas où aucune 
dérivation n'existe.