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assignons à & la valeur 400 ; nous aurons, dans le système de
cinq dérivations équidistantes :
En A, la tension est AF — !j;
En b, — DONS NO RUS 15
En:cs — cols ail 00)68#5 1:
En d, . dd = = 0,4781;
En e, — BE It — A0
Ea #/, se. ff! —=0— 0,157t.
La ligne des tensions est un polygone dont la convexité est
tournée vers le conducteur AB.
D'ailleurs, il est facile de voir que la différence de tension, ou
la hauteur de pente entre deux points successifs de dérivation
diminue à mesure qu’on se rapproche de l’extrémité B du con-
ducteur. Par suite, l'intensité du courant suit une marche décrois-
sante de À en B. La décroissance du courant devient moins
rapide à mesure qu’on se rapproche de l'extrémité B.
A mesure que les dérivations se rapprochent, les côtés du
polygone se raccourcissent ; à la limite, quand les points de dé-
rivation ne sont plus séparés que par un espace infiniment
court, le polygone devient une courbe régulière.
Le cas de points de dérivation séparés par un intervalle infi-
niment court correspond à un conducteur exposé à l’action d'une
atmosphère humide. Par conséquent, quand la perte d’électri-
cité par l'air n'est plus négligeable :
4° La ligne de distribution des tensions est une courbe dont
la convexité est tournée du côté du conducteur.
2° L’intensité du courant diminue à mesure qu'on se rap-
proche de l'extrémité B du conducteur en communication avec
la terre. Cette décroissance du courant devient moins rapide à
mesure qu'on se rapproche de l'extrémité B.
3° Les tensions des divers points du conducteur restent tou-
jours proportionnelles à la tension constante de la source eü
communication avec l'extrémité À du conducteur.