h04 NOTES.
Si pet p' ont des valeurs telles que
m nm!
1 OiB0DDS de. 0,00005 d’?°
nous aurons
m m/
0,00005 d2 0,00005 d’2"
* d'où
m d
Ms de.
Dans ce cas, les intensités m, m’ du magnétisme développé
dans les deux barreaux sont dans le même rapport que les carrés
de leurs diamètres, ou que leur maxima d'aimantation : en d'au-
tres termes, ces barreaux acquièrent des intensités magnéti-
ques qui sont une même parlie aliquote de leurs maxima d'ai-
mantation? Mais alors les équations (3) et (4) donnent la relation
suivante :
p' d'z
D'où il résulte que, pour développer dans des barreaux de fer
doux de diamètres différents la même partie aliquote de leurs
maæima d'aimantation, il faut les soumettre à l’action de forces
magnétisantes qui soient dans le rapport des racines carrées des
cubes de leurs diamètres.
M. le professeur Nicklès (1) a publié une très belle série de
(1) L'Institut (journal), 8 décembre 1852. — Comples rendus de
l'Académie des sciences, 1853, t. XXXVI, p. 490; t. XXXVII,
p. 955; 1854, t. XXXVIIL, p. 266 et 397; t. XXXIX, p. 635. —
Bulletin de la Société d'encouragement, mai et NON, 1853. Me
moires de la Société de l'Académie de Stanislas. Nancy, 1856. —
Thèse pour le doctorat ès sciences physiques. Paris, 18353 — Les
électro -aimants, Paris, 1860.