SONNERIES,
Fe
ss
borne Y, traverse les bobines de l’électro-aimant, gagne
la borne Y’, la borne X', et se perd dans le sol. En même
temps la palette P est attirée par les surfaces polaires de
l’électro-aimant, sa queue vient butter contre la vis s, et
le levier L est dégagé. Ce levier obéit à la pression du res-
sort 7, entraine la virgule V qui presse contre le ressort R
et l'éloigne de sa position verticale; la dent d de la roue
d'échappement E est dégagée et le mouvement d'horlogerie
entreen jeu. La pièce D maintient, pendant chaque demi-
révolution, le ressort R éloigné de la position verticale, et
l'empêche de se remettre en prise avecla dent d. Pendant
ce temps-là, le bouton 4 de la roue d'échappement E,
agissant comme excentrique, fait osciller la fourchette du
manche autour du point À, et le marteau M frappe alter-
nativement sur les deux côtés du timbre T. Le bruit de
la sonnerie dure nécessairement jusqu’à ce que le ressort
R puisse se remettre en prise avec la dent 4 de la roue
d'échappement E.
Au moment où le courant cesse, la palette P et sa
queue ( sont ramenées à leur position verticale par le
ressort antagoniste 7”. De plus, deux chevilles métalliques
ce, c, sont implantées sur la face antérieure de la roue 2.
Il en résulte qu’à chaque demi-révolution, une des deux
chevilles 6, c, relève la tige #, et avec elle le levier Let la
virgule V. Lors donc que la palette P à repris sa position
verticale, une des chevilles c, ec, relève le levier L, et le
remet en prise avec l'extrémité supérieure de la queue Q.
Dès lors la virgule V a aussi repris sa position normale,
et nes oppose plus au mouvement de retour du ressort R.
Mais ilest facile de voir qu’au même moment, la pièce D