16 LIGNE TÉLÉGRAPHIQUE.
a repris la position dans laquelle ses deux longs côtés
sont verticaux, et que le ressort R est libre désormais
d’obéir à l'impulsion de son élasticité. Ce ressort R entre
de nouveau en prise avec la dent d, le mouvement d'hor-
logerie est arrêté, et le marteau M cesse de frapper sur
le timbre T.
11 est facile de voir que, quelque courte que soit la durée
du passage du courant, le tintement de la sonnerie se
prolonge nécessairement pendant une demi-révolution
de la roue 2.
La sonnerie est armée d’unindex $ qui par sa position
indique si, pendant l’absence momentanée de l'employé,
elle est restée au repos, ou si elle a été mise en jeu. Get
index $ porte une queue verticale munie d’un ressort à
boudin qui le pousse de bas en haut, et d’un bouton qui
entre en prise avec l'extrémité d’une tige métallique p
poussée de dedans en dehors par un ressort à boudin 0.
— L'employé, en pressant sur l'index S, met le bouton de
l'extrémité de sa queue en prise avec la tige horizontale p;
dans cette position de repos, l'index S est maintenu au-
dessous du plan supérieur de la boite de bois BB qui
enveloppe la sonnerie, et se trouve caché. Quand la son-
nerie entre en jeu, la dent d dela roue d'échappement
accroche, en passant, l'extrémité recourbée de la tige hori-
zontale p, entraine cette tige, et dégage le bouton de la
queue de l'index S, qui, poussé par son ressort à boudin,
sort dela boîte à travers une échancrure, et vient prendre
la position S'. L’index reste ainsi en S’, visible pour
l'employé, jusqu’à ce que, la sonnerie étant arrêtée, on le
replace dans sa position de repos S.
von