DÉVELOPPEMENT NUMÉRIQUE DES PERTURBATIONS DU MOUVEMENT, ETC. 96
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par suite les coefficients K_,, K_ 3 , K _, 0 . . . sont très petits et presque
tous négligeables ; et c’est là le principal avantage de leur introduction.
Posons encore
F = £'K r/ e i( ib' , G = 2 ' ——— e ic is,
F' — X'KV/ e~ i( is,
on peut alors écrire
G'= S' e~ i( is\
p cos&
cos 2 œ — p 2
b = — — -i- P,(F -+- F'), tp si 11 4 1 séc© = Qi(F — F'),
= — — -t- Qj(G -+- G'), î’o sini séccp(cos 2 «p -t- p) = Pi( G — G').
Portons ces valeurs dans les formules (22), (24) et (2.5 bis) du
n° 108 , en n’oubliant pas qu’il ne s’agit que de la détermination des
perturbations du premier ordre; posons encore
_ F 3s
_ F ~ TPi ’
F, -- F + 4 K’
G 2 = G —
5 s
4 Gb
F ' 3 s
F '«= F+ 4 b’
1
O
II
b
5 £
4 Gb
puis
B, =
1 d\\
na- à g
4 P.Q.«c«t/ g
2 na 2 '\ “
à\\
()\\ '
es ,F26 cb
= 4P,Q,.çc« ? / W .p, («j,
2 «CT 2 \ 2 àg ôb )
_ 2¿P, Q, dW r , _ 21 P, Q! dW .
~ «« 2 1 dÇ ’ «ct 2 1 dÇ ’
on trouve alors sans aucune peine
p =/b, <* + pr [ yB 2 dt+J B' 2 dt^ ,
10 = 3 ^ Bj cfc -+- F J 'B g cLt -+- F'^ B. 2 c//,
Ç = F,y* G' ob -4- F'j y" Cr/G
et en rappelant que
co -I- ¡3
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(JL) // ,