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98 CHAPITRE XVII.
et l’on peut écrire encore, comme on le vérifie sans peine,
(* = >, 2, 3 ).
D’après les formules (22), on a donc
d(m
et par suite
clt =*P - p H- 5 p .
sp = p»;
2^
йф
«?* ’
plus exactement, il conviendra de prendre pour o ,3 la valeur de [ 3 2
privée de son terme constant, si l’on effectue toutes les quadratures
que nous allons rencontrer maintenant sans addition de constantes
arbitraires nouvelles, en se contentant d’ajouter aux constantes
primitives [ 3 ,, ¡ 3 2 ,. . . des accroissements oj 3 4 , oj 3 ,,. . . dont on dispo
sera comme on a fait de [ 3 l5 ( 3 2 , ....
Il vient ensuite pour la partie correspondante de ow
0 tu = 2 [-Ф 1 ¡3 dt -+- cos^ -+■ v)/ p 2 ¡3 dt -+- p sin^ séccp ^ P 3 ¡3 dt j
/ dY* Г dY*
—— (a—2 P) dt 4 - p sin(|> séccp / -y- (a— 2 ¡ 3 ) dt.
En se reportant au numéro précédent, la première ligne de cette
expression s’écrit
8ш
= 6 J Bj ¡3 dt -b 2F J B'j ¡3 dt H- 2F J B 2 3 dt ;
quant à la seconde, il est facile de lui donner une forme analogue.
A cet effet, remarquons que l’on a (n° 81 )
cosd* -4- e = cos 2 œ 2' q Q, 7 e i( !8 , i sin *1 cos<p = '¡L'q ;
faisons alors /
H,
puis
I /Pq , QtfCOS 2 ?'
2U1
Pi
M,
II
1
Sb
+ 2Н ?
M
Mi
3 £
= ~ 4 Qï
-b 2'Н 7 e-'w,
w.
M 2 = Z'q H,, e*«,