DÉVELOPPEMENT NUMÉRIQUE DES PERTURBATIONS DU MOUVEMENT, ETC. 105
Qi, Q 2 , • • -j Qa les valeurs correspondantes de la fonction Q, on
aura, avec une approximation facile à apprécier, et déjà grande pour
de petites valeurs de /r,
Le problème est ainsi ramené au calcul des intégrales X 0 , Y 0 , Z„,
pour chaque valeur particulière donnée à a. Or nous savons encore
que pour déterminer X, Y, Z, nous pouvons ici réduire la fonction
dique de g, ne contient en effet aucun terme indépendant de g .
Soient alors deux axes rectangulaires Ox\ O y dans le plan il' de
1 orbite de M', le premier passant par le périhélie de cette orbite, et
soit Os' un troisième axe perpendiculaire à Ox', O y : le point M' a
pour coordonnées par rapport à ces axes
x’= 7 ’'cosp'= a'(cosu'— e'), y' = r' sin p' = a'cosç»' sin z' = o,
et l'on peut ajouter
Qo— ^ (QiQ2-+-• • •-+- Qa).
Avec cette notation, il viendra donc
m'71 a 2 coso
1 ni
et comme on = 0, on aura l'équation de condition
0
qui servira de vérification partielle.
fm'
perturbatrice à sa partie principale en désignant par A la distance
MM' : la partie complémentaire, développée comme fonction pério-
r' — a' (1
î cos iï).