Soient maintenant A, u, v les cosinus des angles que fait le rayon
vecteur OM avec Ox' : O y', Oa'; et)/, ut', '/, puis À", ¡J.", v" les quan
tités analogues pour la perpendiculaire OP à OM menée dans le
plan 11 de l’orbite de M, et pour la normale ON à ce plan. Les coor
données de M par rapport aux axes Ox\ Oy\ 0 ~' sontXr, pr, v r,
et l’on a
A 2 = /- 2 -+- r' 2 — ‘i ;•( ). x' -|- \j.y' ) ;
de plus les projections de la force perturbatrice sur Ox\ Or , Os'
sont
(x' — Xr),
de sorte qu’il vient
X = I xy'—r),
Y = A® py")’
z = Ît 0" x '^- l x 'y)y
a' r' du'
(Ix'-h ;j. y'— r),
a' r du'
(XV-t-py),
a' r du'
(X'a?'-+- y y' )■
Désignons par K le nœud ascendant du plan II' sur le plan 11; soit
J l’inclinaison correspondante de II sur II, et appelons gj, to les
distances du nœud K aux périhélies des deux orbites; ces angles J,
w, to' sont faciles à calculer une fois pour toutes.
Déterminons de même des quantités auxiliaires/?, q, P, Q, telles que
p sin ( P — w ) = cos m', q sin (Q — to) = — sin to' }
p cos (P — to) = sin w' cos J, q cos(Q — to) — costo' cos J ;
on a sans peine
À =p sin( v -f- P), ¡j. = q sin ( v -+- Q),
A' = p cos(c -f- P), \j.’ — q cos(c -+- Q),
X" = sin to' sin J, pt" = cos to' sin J,
— sin(e - 4 - to) sin J,
— cos ( v -f- to) sin J,
cosJ ;
ces neuf quantités sont liées entre elles par les relations connues.
Remarquons actuellement que l’on a