CHAPITRE XVII.
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l’on peut écrire ainsi
S,, S*, S 3 étant des quantités réelles.
Si l’on fait
F = A£ 2 A'kj* -t- A"C 2 h- 2 B^ + a B'ÇÇ h- 2 B" fr ,,
de sorte que
A == s' 2 p 2 — 2e'Xp,
A' = o,
B' = — Xp -4- s'p 2 ,
B = IJLp,
A" = 1 + p 2 ,
B" = — s' p.p,
et que l'on désigne par Dtp le discriminant d’une forme quadratique
quelconque <p, les nombres S 1} S s , S 3 sont les racines de l’équation
on vérifie immédiatement que cette équation a en effet deux racines
négatives séparées par le nombre — 1, et une racine positive infé
rieure à tans 2 o’.
•O *
En prenant précisément Si^S^^S^ on s’assure facilement que
la substitution entre £, rp Ç et r/, Ç' est entièrement réelle; il suffit
d’observer que la forme F est, comme /, décomposable en une somme
de deux carrés positifs et d’un carré négatif, et en outre que les
cônes C et C n’ont aucune génératrice commune i'éelle.
Considérons maintenant les formes
et imaginons que la substitution sur r n Ç l es transforme en
/
D(F-S/) = o,
ou
S 2 -+- ( 1 ae'Xp -4- p 2 cos 2 »')S 2
- 4 - [ 2 e'Xp -+- ( X 2 -+- ¡J. 2 cos 2 o' — c' 2 ) P 2 ]S — s' 2 ¡x 2 p 2 = o ;
<P = Ç[X^+ f«| — p{Ç- 4 -<Ob ?' = ¡Ab ?" = Ç(X"Ç -+- ¡A),