THÉORÈMES GÉNÉRAUX RELATIFS AUX INÉGALITÉS SÉCULAIRES. l'j 3
aurait simplement, en appelant v 0 , v 0 , . . . ce que deviennent v,
pour n = /?o, n' n ' 0 , ....
<)n 0 ,
(n) — n 0+ J— [(v)
-, , drto
'°] •+■ xrr [< v )
" v o
puisque, si le produit de deux ou plusieurs perturbations des n, n\...
est d’ordre /J, sa classe est certainement inférieure à 2 p — 1.
Tout ce que nous venons de dire s’étend de soi-même au cas où
l'on considérerait à la fois plusieurs diviseurs distincts c/, cl ', . . en
nombre inférieur à celui des quantités /, . ... 11 faudrait simplement
regarder comme équivalents tous les diviseurs liés à cl : par
une relation linéaire et homogène indépendante de /? 0 , n' 0 ,... : et
appeler (N), (II), (L), . . . les parties des fonctions N, H, L. . . . qui
dépendent des arguments 0 correspondant à tous ces diviseurs.