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CHAPITRE XIX.
Faisons tourner les axesTX, T Y dans leur plan autour du point!',
d’un angle égal à la longitude moyenne N' du Soleil, et appelons X # ,
Y 0 les coordonnées de L par rapport à leurs nouvelles positions
mobiles TX 0 , TY 0 ; la fonction U étant exprimée maintenant à l’aide
de X 0 , Y 0 , Z, de N' et des coordonnées du Soleil par rapport à GX',
GY', la théorie élémentaire du mouvement relatif donne immédiate
ment les équations
d 2 X 0
,d Y 0
dl)
~ n X »= âX 0
dt-
dt
d 2 Y o
, dX o
dU
dt-
dt
n Ï0 “dY„
d 2 Z
dU
dt 2
— dZ '
Désignons para une longueur constante qui sera précisée ultérieu
rement, et faisons
X 0 -4- i Yy Xo — i. Y 0 i Z
de sorte que
a , ..., ..., ,, a , .... „ a z
X= — (xe iy ye~ iy ), Y = —. ( xe—y e~ l * ), Z = —— •
Appelons N = nt-\-l 0 un argument qui représentera la longitude
moyenne de la Lune, comptée dans le plan TXY à partir de TX;
n et l 0 sont deux constantes arbitraires. Faisons
m = —-—-,, x = i( N — IN'),
n — n
et employons la caractéristique D comme signe de dérivation par
rapport à la vai'iable t.
Les équations précédentes se transforment immédiatement en
D 2 x -h- 2 m L)# -4- ;/? 2 x 4 -
D 2 y— 2 m Dy -4- m z y -t-
D 2 ^ —
2
( n — n' ) 2 a-
i
(n — n'y- « 2
i
(n — n') 2 « 2
dU
dy
dU
ôx
dU
dz
= o,
= °.
= O.